« Il est en difficulté à Paris parce qu’il y a Ibrahimovic qui fait de l’ombre à tous les autres. Même à Barcelone, ils l’ont mis dehors et cela me déplaît qu’Ancelotti ait succombé à ce joueur évidemment fantastique, mais qui a un mauvais caractère ». Le président de Palerme Maurizio Zamparini soutient son ancien protégé Javier Pastore en s’en prenant à Zlatan Ibrahimovic. Un peu facile, mais le dirigeant italien est-il vraiment dans le faux ? Si personne ne peut vraiment répondre à la question, on sait que le Suédois est en tout cas loin d’être facile à gérer.
L’Équipe relaie en effet que la gestion du Scandinave est un véritable défi pour Carlo Ancelotti. Dans un vestiaire où la division entre Français et étrangers est palpable (sans pour autant être une fracture), l’ancien Milanais ne mâche jamais ses mots. Dernier exemple en date, samedi, à la mi-temps du match face à Troyes (4-0, 14e journée de L1). L’attaquant aux 12 buts en 11 matches en championnat est rentré aux vestiaires en pestant furieusement contre ses partenaires parisiens, avec lesquels il ne menait péniblement que (1-0) contre le promu aubois.
« Même mes fils savent mieux jouer au foot que vous ! », a-t-il hurlé, révèle le quotidien sportif. Une invective à laquelle aucun joueur n’a répondu... Le match s’est d’ailleurs mieux terminé, Zlatan inscrivant notamment un doublé et délivrant une passe décisive supplémentaire. Mais les critiques virulentes, si elles venaient à se répéter trop souvent, et le caractère difficile de l’actuel meilleur buteur de L1 peuvent-elles nuire à l’unité du groupe du Paris SG, pour l’instant préservée ? Maurizio Zamparini le pense visiblement. À Carlo Ancelotti de trouver la solution pour le gérer au mieux et faire mentir son compatriote.
Alexis Pereira
L’Équipe relaie en effet que la gestion du Scandinave est un véritable défi pour Carlo Ancelotti. Dans un vestiaire où la division entre Français et étrangers est palpable (sans pour autant être une fracture), l’ancien Milanais ne mâche jamais ses mots. Dernier exemple en date, samedi, à la mi-temps du match face à Troyes (4-0, 14e journée de L1). L’attaquant aux 12 buts en 11 matches en championnat est rentré aux vestiaires en pestant furieusement contre ses partenaires parisiens, avec lesquels il ne menait péniblement que (1-0) contre le promu aubois.
« Même mes fils savent mieux jouer au foot que vous ! », a-t-il hurlé, révèle le quotidien sportif. Une invective à laquelle aucun joueur n’a répondu... Le match s’est d’ailleurs mieux terminé, Zlatan inscrivant notamment un doublé et délivrant une passe décisive supplémentaire. Mais les critiques virulentes, si elles venaient à se répéter trop souvent, et le caractère difficile de l’actuel meilleur buteur de L1 peuvent-elles nuire à l’unité du groupe du Paris SG, pour l’instant préservée ? Maurizio Zamparini le pense visiblement. À Carlo Ancelotti de trouver la solution pour le gérer au mieux et faire mentir son compatriote.
Alexis Pereira
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