Il semble que les deux hommes n’ont pas les mêmes visions en ce qui concerne la gestion de la structure. Thierno Alassane Sall s’est beaucoup félicité « des résultats obtenus » en seulement quelques mois de travail avec « ces hommes et femmes » qui ont adhéré à sa vision avec la « rigueur et la fermeté». C’est ainsi que « nous sommes parvenus à redresser la barre », car « nous avions trouvé l’Agence dans une situation extrêmement difficile qui a nécessité des décisions extrêmement difficiles », dit le nouveau ministre des Infrastructures et des Transports. Quant à l’ancien ministre de la Communication, Abou Lô qui devra présider désormais aux destinées de l’Agence, il prône à son tour « la concertation, le dialogue et la négociation » dans la gestion des choses. Le nouveau directeur qui rappelle que « l’ARTP a été connue généralement sous la rampe de mauvaises nouvelles », avec les emprisonnements de deux anciens directeurs généraux, a demandé à donner à cette structure toute « l’image qu’elle mérite » à cause « du rôle important qu’elle est en train jouer dans ce pays». En fin, les deux hommes se sont retrouvés sur un point commun et « important », à savoir « ne pas rater le virage du numérique ».
Passation de services à l’ARTP : différence de vue entre Thierno Alassane Sall et Abou Lô
La passation de services à la tête de l’Agence de régulation des postes et des télécommunication entre le sortant Thierno Alassane Sall et le nouveau directeur Abou Lô s’était passée hier au siège de l’Agence sur la VDN.
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