Face à la presse ce matin, Abdou Faty et sas camarades ont expliqué que ce front unitaire s’explique par le fait que les deux parties ont tiré des leçons du passé en ce qui concerne les conséquences de l’émiettement syndical.
Faisant le bilan de la mise en œuvre du protocole d’accord de février 2014, ces enseignants ont noté « quelques avancées significatives ». Cependant, « ces résultats obtenus bien que fort appréciables, ne sont toujours pas à la hauteur des attentes des enseignants et de leurs organisations syndicales ». « Il a été regrettable de constater, une fois de plus, la persistance des retards et des lenteurs dans leur matérialisation intégrale ».
Suffisant pour qu’ils disent être convaincus qu’il subsiste « encore un réel déficit de volonté politique au niveau du Gouvernement, surtout, du ministère de l’Economie et des Finances ». Ce qui fait qu’ils sont « contraints par le gouvernement à s’engager sur la voie de la confrontation ». Et pour montrer leur détermination, le Gcse et l’Useq ont décidé de déposer, dans les prochains jours, un préavis de grève « dans l’intérêt supérieur de l’école et des universités publiques », indiquent les deux intersyndicales.
Mariama Kobar Saleh
Faisant le bilan de la mise en œuvre du protocole d’accord de février 2014, ces enseignants ont noté « quelques avancées significatives ». Cependant, « ces résultats obtenus bien que fort appréciables, ne sont toujours pas à la hauteur des attentes des enseignants et de leurs organisations syndicales ». « Il a été regrettable de constater, une fois de plus, la persistance des retards et des lenteurs dans leur matérialisation intégrale ».
Suffisant pour qu’ils disent être convaincus qu’il subsiste « encore un réel déficit de volonté politique au niveau du Gouvernement, surtout, du ministère de l’Economie et des Finances ». Ce qui fait qu’ils sont « contraints par le gouvernement à s’engager sur la voie de la confrontation ». Et pour montrer leur détermination, le Gcse et l’Useq ont décidé de déposer, dans les prochains jours, un préavis de grève « dans l’intérêt supérieur de l’école et des universités publiques », indiquent les deux intersyndicales.
Mariama Kobar Saleh