Dans un pays très divisé, ces scrutins étaient attendus comme un test révélateur de la popularité de Donald Trump, quatrième président seulement de l'histoire américaine menacé par une procédure de destitution, à cause de l'affaire ukrainienne.
Ironisant sur la frénésie médiatique, l'homme d'affaires avait eu ces mots prémonitoires lundi soir, en appelant ses supporteurs dans l'État conservateur du Kentucky, à aller voter: «Parce que si on perd, cela envoie un très mauvais message (...) vous ne pouvez pas laisser cela m'arriver», avait-il lancé à la foule de quelque 20 000 personnes.
Ironisant sur la frénésie médiatique, l'homme d'affaires avait eu ces mots prémonitoires lundi soir, en appelant ses supporteurs dans l'État conservateur du Kentucky, à aller voter: «Parce que si on perd, cela envoie un très mauvais message (...) vous ne pouvez pas laisser cela m'arriver», avait-il lancé à la foule de quelque 20 000 personnes.