Je jeûne tel que l’islam nous le recommande et je prie également. Pour tout vous dire, j’essaie de me conformer aux préceptes de l’islam en pratiquant comme tout bon musulman». A l’heure de la rupture, Yoro ne se gave pas de nourriture sûrement pour éviter que les «ndiobène» ne lui prennent la main dans le sac : «je prends un ndogou tout simple, c'est-à-dire après avoir pris des dattes, je prends du café-Touba avec du pain accompagné de fromage gruyère, jambon ou saucisson, je varie. Il peut arriver également que je prenne des croissants mais j’en mange un tout petit peu, juste pour pouvoir tenir» dit-il avec un large sourire. Et pour mieux digérer, Yoro le fait avec du sport : «après avoir cassé la croûte, je vais à l'entraînement et c’est au retour que je prends le dîner et ce dernier peut être n’importe quoi, yassa, ceebu jën, entre autres mets, ça dépend». Confiant qu’il n’a pas encore organisé des cérémonies d’oeuvres de bienfaisances, Yoro Ndiaye souligne qu’il n’hésite pas à faire le bien à chaque fois qu’il le peut : «je suis en studio raison pour laquelle je n’ai pas pu organiser des distributions de ‘ndogou’. Toutefois, je donne l’aumône à chaque fois que l’occasion se présente» précise-t-il.
Aminatou AHNE (Stagiaire) le populaire
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