Aziz Diop a violemment interpellé Serigne Mbacké Ndiaye ce dimanche 23 septembre à l'issue de l'audience accordée à une délégation de responsables Pds venus féliciter le secrétaire général national à l’issue du prix reçu ce jour d'une organisation de la diaspora en France.
Le patron de la cellule des cadres du Parti démocratique sénégalais (Pds) estime qu'un parti en recomposition après la perte du pouvoir, le 25 mars dernier, n'a pas besoin de clivages supplémentaires, surtout après le départ de certains après la défaite. Au surplus, estime l'ancien directeur de cabinet du ministre Omar Sarr, celui qui est "incapable de mobiliser 100 militants n'as pas le droit de déstabilisateur un coordonnateur à la tête de 14.000 militants".
Le président Wade venait de révéler sa volonté de restructurer le Pds en tolérant désormais des hommes et des idées pour insuffler du sang neuf à sa formation politique qu'il couve encore de loin.
Ainsi, il lui semble nécessaire de nommer et de responsabiliser d'autres hommes et femmes auprès du coordinateur actuel qui auront ainsi des secteurs définis qui leur seraient propres. De même, l'ancien président battu le 25 mars dernier estime nécessaire la circulation des idées au sein du parti pour amener les militants à se remobiliser désormais autour d'idéaux et non plus de personnes.
Des courants bâtis autour d'idées ne sont pas nécessairement un danger pour le Pds, a avancé en substance Maître Wade qui, se tournant alors vers Serigne Mbacké Ndiaye, déjà animateur du courant "Kolleré" (ou fidélité), le lauréat de dimanche de lui notifier qu'il ne serait pas le seul brasseur d'idées dans le nouveau Pds qui se fait.
La réaction de Aziz Diop fait suite à des rumeurs persistantes au sein de la formation libérale d'une tentative de déstabilisation du coordonnateur actuel qui ne serait plus en odeur de sainteté auprès de certains de ses frères. S'il se murmure au Pds qu'il n'est pas sûr de laisser une formation aussi prestigieuse entre les mains d'un individu sans aucune garantie, les départs et autres protestations en sourdine laissent croire que Oumar Sarr ne fait plus l'unanimité. Il est sûr qu'en lui cherchant des "adjoints" autonomes, on lui cherche également des poux en lui reprochant implicitement une certaine mollesse dans la gestion des hommes et des idées au sein du Pds.
Le patron de la cellule des cadres du Parti démocratique sénégalais (Pds) estime qu'un parti en recomposition après la perte du pouvoir, le 25 mars dernier, n'a pas besoin de clivages supplémentaires, surtout après le départ de certains après la défaite. Au surplus, estime l'ancien directeur de cabinet du ministre Omar Sarr, celui qui est "incapable de mobiliser 100 militants n'as pas le droit de déstabilisateur un coordonnateur à la tête de 14.000 militants".
Le président Wade venait de révéler sa volonté de restructurer le Pds en tolérant désormais des hommes et des idées pour insuffler du sang neuf à sa formation politique qu'il couve encore de loin.
Ainsi, il lui semble nécessaire de nommer et de responsabiliser d'autres hommes et femmes auprès du coordinateur actuel qui auront ainsi des secteurs définis qui leur seraient propres. De même, l'ancien président battu le 25 mars dernier estime nécessaire la circulation des idées au sein du parti pour amener les militants à se remobiliser désormais autour d'idéaux et non plus de personnes.
Des courants bâtis autour d'idées ne sont pas nécessairement un danger pour le Pds, a avancé en substance Maître Wade qui, se tournant alors vers Serigne Mbacké Ndiaye, déjà animateur du courant "Kolleré" (ou fidélité), le lauréat de dimanche de lui notifier qu'il ne serait pas le seul brasseur d'idées dans le nouveau Pds qui se fait.
La réaction de Aziz Diop fait suite à des rumeurs persistantes au sein de la formation libérale d'une tentative de déstabilisation du coordonnateur actuel qui ne serait plus en odeur de sainteté auprès de certains de ses frères. S'il se murmure au Pds qu'il n'est pas sûr de laisser une formation aussi prestigieuse entre les mains d'un individu sans aucune garantie, les départs et autres protestations en sourdine laissent croire que Oumar Sarr ne fait plus l'unanimité. Il est sûr qu'en lui cherchant des "adjoints" autonomes, on lui cherche également des poux en lui reprochant implicitement une certaine mollesse dans la gestion des hommes et des idées au sein du Pds.