"Quand il y a perturbation dans le système éducatif, évidemment on s'attend à avoir des résultats comme ça. Et nous en sommes désolés", a regretté M. Dianté. A l'en croire, le ministre de l'Education, lors d'une conférence de presse, a indiqué que les grèves n'ont pas eu d'impact sur les résultats, mais eux, ils savait "en âme et conscience que la grève avait un impact sur les apprentissages". Le coordonnateur du Grand cadre estime qu'en refusant de réaménager le calendrier scolaire et en disant que l'impact de la grève n'est pas important, car sur 16 syndicats, il n'y a que deux qui sont en grève, sur 24 000 syndicats, il n'y avait que 2000, ces résultats-là sont regrettables.
"Nous considérons aujourd'hui que ce ne serait aucunement la responsabilité des syndicats d'enseignants, encore moins des enseignants qui ont payé pour la grève dans la mesure où on les a condamnés sur place sur les plans pécuniaire et administratif", martèle Dianté qui estime que le seul responsable, c'est l'Etat qui doit prendre en compte leurs revendications pour espérer renverser la tendance.
"Nous considérons aujourd'hui que ce ne serait aucunement la responsabilité des syndicats d'enseignants, encore moins des enseignants qui ont payé pour la grève dans la mesure où on les a condamnés sur place sur les plans pécuniaire et administratif", martèle Dianté qui estime que le seul responsable, c'est l'Etat qui doit prendre en compte leurs revendications pour espérer renverser la tendance.
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