Le Système des Nations unies s’engage à contribuer à la riposte contre le Covid-19 au Sénégal. Pour cela, il annonce qu’il mobilisera 200 millions de dollars Us soit environ 121 milliards de FCfa, sous forme de don aux efforts de lutte contre le Covid-19 à travers le Programme de résilience économique et sociale (Pres) coordonné par le ministère de l’Economie, du Plan et de la Coopération.
Cet engagement, renseigne des partenaires onusiens, renseigne "Le Quotidien", découle de la séance de travail par vidéoconférence, qu’ont tenue vendredi Amadou Hott, ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération et Léna Savelli, coordonnatrice résidente des Nations-Unies au Sénégal, entourée des chefs d’Agences du Snu.
Et aux yeux des deux parties, «cette contribution traduit la vision commune de toutes les agences du Système des Nations unies confondues et symbolisée à travers le Plan cadre d’assistance commune des Nations unies (Pnuad) par le «One Un».
Elle s’articule autour des 4 piliers du Programme de résilience économique et sociale (Pres), à savoir : le renforcement du système de santé; le renforcement de la résilience sociale des populations ; la stabilité macroéconomique et financière pour soutenir le secteur privé et maintenir les emplois ; et l’approvisionnement régulier en denrées de première nécessité, en hydrocarbures et en produits médicaux et pharmaceutiques».
Cet engagement, renseigne des partenaires onusiens, renseigne "Le Quotidien", découle de la séance de travail par vidéoconférence, qu’ont tenue vendredi Amadou Hott, ministre de l’Economie, du Plan et de la Coopération et Léna Savelli, coordonnatrice résidente des Nations-Unies au Sénégal, entourée des chefs d’Agences du Snu.
Et aux yeux des deux parties, «cette contribution traduit la vision commune de toutes les agences du Système des Nations unies confondues et symbolisée à travers le Plan cadre d’assistance commune des Nations unies (Pnuad) par le «One Un».
Elle s’articule autour des 4 piliers du Programme de résilience économique et sociale (Pres), à savoir : le renforcement du système de santé; le renforcement de la résilience sociale des populations ; la stabilité macroéconomique et financière pour soutenir le secteur privé et maintenir les emplois ; et l’approvisionnement régulier en denrées de première nécessité, en hydrocarbures et en produits médicaux et pharmaceutiques».
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