Ces installations entrent dans le cadre du projet de protection côtière de Saly, une composante financée par le fond d’adaptation aux changements climatiques. Ainsi, neuf brise-lames, d’un coup de 925 millions de FCfa, vont être installés pour contrecarrer l’érosion côtière. « Il s’agit de neuf brise-lames de 90 mètres de long et 13 mètres de large, distants l’un de l’autre de 60 mètres et s’étendant sur 1km 500. Ces brise-lames tiennent compte des spécifications marines, couranthologiques et environnementales. Ils sont mondialement reconnus comme étant la meilleure disposition. Ils ne permettent pas une modification des conditions d’existence du milieu et facilitent le transfert marin » a expliqué le directeur technique du centre d’expérimentation, de recherches et d’études de l’équipement (Cereeq). D’après lui, l’idée de ce projet ce n’est pas seulement de sauver des infrastructures hôtelières mais de protéger aussi les populations locales et le village de Saly que l’Etat a l’obligation de préserver ».
Le directeur adjoint de l’environnement et des établissements classés, Ernest Dione, s’est également employé à louer les avantages liés à ces installations. Il souligne qu’« avec les brise-lames tels que conçus, les risques sont extrêmement mineurs de pouvoir dégrader les installations situées en dehors du projet. Quel que soit le scénario, quel que soit le niveau des vagues, les impacts négatifs sont quasiment nuls ».
Le directeur adjoint de l’environnement et des établissements classés, Ernest Dione, s’est également employé à louer les avantages liés à ces installations. Il souligne qu’« avec les brise-lames tels que conçus, les risques sont extrêmement mineurs de pouvoir dégrader les installations situées en dehors du projet. Quel que soit le scénario, quel que soit le niveau des vagues, les impacts négatifs sont quasiment nuls ».