Après l’arrestation de Carmelo Sagna dont beaucoup de personnes pensent qu’il n’est que le dindon de la farce dans l’affaire du fuel «frelaté», Samuel Sarr serait en route pour le rejoindre à Rebeuss. Selon Vérité du jour, ce n’est plus qu’une question de jours car l’enquête avait été bouclée depuis plus de cinq mois par la Brigade des affaires générales (Bag), un démembrement de la Division des investigations criminelles (Dic).
D'après les sources du journal dirigé par Souleymane Kane, Carmelo Sagna avait refusé dans un premier temps d’acheter le fuel «frelaté» débarqué par un bateau dénommé «Arcadier» mais sur les injonctions de sa tutelle, il a du obtempérer. «Samuel Sarr lui a forcé la main en lui demandant de payer prés de 10 milliards FCFA au fuel frelaté provenant du Nigeria qu’il avait lui-même commandé», assure notre source. M. Sarr serait donc «mouillé» par des "instructions écrites" qu’il avait adressées à M. Sagna. «Même les techniciens de la Sar à l’époque étaient dans tous leurs états car sachant que le fuel n’était pas de bonne qualité», ajoute la source. Dans le rapport de l’Inspection générale d’Etat (Ige), il est question d’une «substitution de la cargaison de fuel à de l’eau ayant sérieusement entaché la bonne marche du secteur de l’énergie au Sénégal». Leurs craintes finiront par être fondées car les machines de la Senelec furent détruites entraînant le Sénégal dans une obscurité totale.
D'après les sources du journal dirigé par Souleymane Kane, Carmelo Sagna avait refusé dans un premier temps d’acheter le fuel «frelaté» débarqué par un bateau dénommé «Arcadier» mais sur les injonctions de sa tutelle, il a du obtempérer. «Samuel Sarr lui a forcé la main en lui demandant de payer prés de 10 milliards FCFA au fuel frelaté provenant du Nigeria qu’il avait lui-même commandé», assure notre source. M. Sarr serait donc «mouillé» par des "instructions écrites" qu’il avait adressées à M. Sagna. «Même les techniciens de la Sar à l’époque étaient dans tous leurs états car sachant que le fuel n’était pas de bonne qualité», ajoute la source. Dans le rapport de l’Inspection générale d’Etat (Ige), il est question d’une «substitution de la cargaison de fuel à de l’eau ayant sérieusement entaché la bonne marche du secteur de l’énergie au Sénégal». Leurs craintes finiront par être fondées car les machines de la Senelec furent détruites entraînant le Sénégal dans une obscurité totale.