“Je suis très satisfait, cela a toujours été mon combat. J’ai été l’un des premiers à monter au créneau, et ça avant et après le procès. J’ai été traité de tous les noms d’oiseaux et insulté par des amis du Pds. Mais le plus important pour moi, c’est que Karim sorte de prison. Et je ne suis pas surpris qu’il soit parti au Qatar. Je disais à mes amis que le jour où Karim est libéré, il ne passera pas une nuit à Dakar, et ça s’est confirmé. Son père le mérite et quand le président parle de raisons humanitaires, je le comprends parfaitement bien. Voilà un monsieur Karim Wade qui a perdu son épouse, qui a trois enfants qu’il n’a pratiquement pas pu voir depuis deux ans. Je suis donc satisfait de ce dénouement et c’était ça l’essentiel. Sur son avenir politique, c’est à lui d’en parler mais le plus important pour lui c’était de sortir de prison.”
Interrogé sur l’avenir de la traque des biens mal acquis, l’ancien ministre du régime Wade pense qu’il faut revoir la forme dont cette traque est appliquée. “Vous savez il ne faut pas y mettre un terme, c’est la forme qu’il faut revoir, car on ne peut pas dire à quelqu’un que cet immeuble lui appartient, alors que ça ne lui appartient pas, et vous lui dites prouvez mois que ça ne vous appartient pas, cela n’a pas de sens. La cour des comptes par exemple peut s’occuper de ça, et je pense que ces structures là peuvent parfaitement régler ces problèmes. Nous n’avons pas besoin de structure spéciale comme la Cre”, nous a confié Serigne Mbacké Ndiaye.”
Senego
Interrogé sur l’avenir de la traque des biens mal acquis, l’ancien ministre du régime Wade pense qu’il faut revoir la forme dont cette traque est appliquée. “Vous savez il ne faut pas y mettre un terme, c’est la forme qu’il faut revoir, car on ne peut pas dire à quelqu’un que cet immeuble lui appartient, alors que ça ne lui appartient pas, et vous lui dites prouvez mois que ça ne vous appartient pas, cela n’a pas de sens. La cour des comptes par exemple peut s’occuper de ça, et je pense que ces structures là peuvent parfaitement régler ces problèmes. Nous n’avons pas besoin de structure spéciale comme la Cre”, nous a confié Serigne Mbacké Ndiaye.”
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