Pour Seydou Guèye, « la facilité déconcertante avec laquelle Cheikh Bamba Dièye analyse les mises au point du Premier ministre, Mahammad Boun Abdallah Dionne, dans l’affaire des contrats pétroliers, pose véritablement un problème d’ordre éthique ».
« Comment peut-on parler de digression lorsqu’on évoque les dispositions de la loi portant sur la diffusion de fausses nouvelles et de manipulation des faits à dessein ; juste pour tromper l’opinion publique. Simplement parce que l’ancien ministre de la communication a fait hors sujet », a indiqué M. Guèye.
Sous ce rapport, estime-t-il dans le journal : « Si la myopie politique renvoie à une vision sombre des choses, une petite correction permet de voir qu’il s’agit d’un tableau de bord qui trace toutes les actions entreprises, avec une dimension rétroactive sur la recherche pétrolière depuis 1952. Alors qui dit mieux dans cette volonté clairement affichée par le Premier ministre de donner la bonne information afin que nul n’en ignore ».
Selon le responsable Apr, parler de négociations directes avec Kosmos Energy en exhibant le cas mauritanien, c’est assurément ne rien comprendre au processus ayant conduit à la signature des contrats pétroliers et la cession des actifs entre multinationales. Même une lecture « en diagonale » du document soumis par le Premier ministre à l’attention de l’opinion publique aurait permis de comprendre qu’il ne s’est pas agi pour le Sénégal de traiter avec des intermédiaires, mais de se porter garant de la légalité des actes posés par des opérateurs pétroliers. Et ceci en parfaite adéquation avec les textes réglementant le secteur.
« Le débat politique ne doit pas se dérouler sous le prisme déformant de l’adversité ou de la dénégation. C’est parce que les importantes découvertes de gaz et de pétrole participeront à coup sûr à la transformation socio-économique de notre pays sous l’ère Macky Sall qu’une opposition en panne d’offre politique s’agite », a dit le porte-parole du gouvernement pour qui le bilan de Macky Sall fait peur.
« Comment peut-on parler de digression lorsqu’on évoque les dispositions de la loi portant sur la diffusion de fausses nouvelles et de manipulation des faits à dessein ; juste pour tromper l’opinion publique. Simplement parce que l’ancien ministre de la communication a fait hors sujet », a indiqué M. Guèye.
Sous ce rapport, estime-t-il dans le journal : « Si la myopie politique renvoie à une vision sombre des choses, une petite correction permet de voir qu’il s’agit d’un tableau de bord qui trace toutes les actions entreprises, avec une dimension rétroactive sur la recherche pétrolière depuis 1952. Alors qui dit mieux dans cette volonté clairement affichée par le Premier ministre de donner la bonne information afin que nul n’en ignore ».
Selon le responsable Apr, parler de négociations directes avec Kosmos Energy en exhibant le cas mauritanien, c’est assurément ne rien comprendre au processus ayant conduit à la signature des contrats pétroliers et la cession des actifs entre multinationales. Même une lecture « en diagonale » du document soumis par le Premier ministre à l’attention de l’opinion publique aurait permis de comprendre qu’il ne s’est pas agi pour le Sénégal de traiter avec des intermédiaires, mais de se porter garant de la légalité des actes posés par des opérateurs pétroliers. Et ceci en parfaite adéquation avec les textes réglementant le secteur.
« Le débat politique ne doit pas se dérouler sous le prisme déformant de l’adversité ou de la dénégation. C’est parce que les importantes découvertes de gaz et de pétrole participeront à coup sûr à la transformation socio-économique de notre pays sous l’ère Macky Sall qu’une opposition en panne d’offre politique s’agite », a dit le porte-parole du gouvernement pour qui le bilan de Macky Sall fait peur.
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