Il a déclaré, au cours d’une conférence de presse qu’il a animé ce lundi 8 août 2016, que « la loi garantit à tout citoyen qui est victime d’une torture de porter plainte. Et quand cette personne porte plainte, des poursuites sont engagées. (…). Dès l’instant qu’il y a une décision, dès l’instant qu’il y a une plainte, des investigations sont faites. Si la réalité est établie, les personnes incriminées répondent. Parce que la torture ne fait pas partie de la formation des policiers. Ceux qui le font seront poursuivis », note le ministre de la Justice.
Me Sidiki Kaba précise également que ces personnes accusées de torture « ne reflètent pas la justice ou la police qui fait un travail difficile et qui le fait avec beaucoup de professionnalisme. Dans certaines circonstances, ils sont véritablement, dans des situations très difficiles. Donc le comportement d’une personne ne peut pas rejaillir sur l’image des forces de sécurité. Il faudrait bien le préciser ».
Il a, en outre, cité le cas d’Ibrahima Samb à Mbacké, qui a abouti à un procès. « On avait estimé qu’il avait été torturé à mort. Les personnes accusées (des policiers : Ndlr) ont été jugées. Il y a à peine trois semaines, ces policiers ont été condamnés à 10 ans. Ce reproche (de protéger les forces de sécurité) on ne peut pas le faire à l’Etat du Sénégal », tonne le ministre.
SenePlus
Me Sidiki Kaba précise également que ces personnes accusées de torture « ne reflètent pas la justice ou la police qui fait un travail difficile et qui le fait avec beaucoup de professionnalisme. Dans certaines circonstances, ils sont véritablement, dans des situations très difficiles. Donc le comportement d’une personne ne peut pas rejaillir sur l’image des forces de sécurité. Il faudrait bien le préciser ».
Il a, en outre, cité le cas d’Ibrahima Samb à Mbacké, qui a abouti à un procès. « On avait estimé qu’il avait été torturé à mort. Les personnes accusées (des policiers : Ndlr) ont été jugées. Il y a à peine trois semaines, ces policiers ont été condamnés à 10 ans. Ce reproche (de protéger les forces de sécurité) on ne peut pas le faire à l’Etat du Sénégal », tonne le ministre.
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