Il a repris les “armes” ! Lui, c’est le Président-directeur général du Groupe de presse Walfadjri.
En effet, SidyLamine Niasse a déclaré, lors de l’émission “Opinion” sur Walf Tv, qu’il serait du meeting du 21 novembre qu’envisagent de tenir les responsables du Parti démocratique sénégalais.
“J’y serais avec une grosse pierre, que je vais emprunter à Moustapha Niasse (actuel Président de l’Assemblée nationale, qui, le 23 juin 2012, était muni d’une grosse pierre pour faire face à l’ancien Président Me Abdoulaye Wade et son régime”, a averti le Mollah de Khar Yalla.
Et inutile de lui faire avaler l’idée selon laquelle le Gouverneur de Dakar a sorti un arrêté pour interdire toute manifestation. Car Sidy Lamine Niasse rétorque : “la Constitution du Sénégal autorise le droit de manifester ; ce qu’aucune autorité administrative ne saurait dénier aux citoyens”.
Quand vous lui opposez la possibilité d’une répression policière qui pourrait être administrée aux libéraux, là aussi, Sidy Lamine Niasse ne veut rien entendre. “Si on nous tue, qu’on nous enterre à la Place de l’Obélisque, parce que celle-ci serait notre Place Tahrir”, se braque-t-il.
Actusen.com
En effet, SidyLamine Niasse a déclaré, lors de l’émission “Opinion” sur Walf Tv, qu’il serait du meeting du 21 novembre qu’envisagent de tenir les responsables du Parti démocratique sénégalais.
“J’y serais avec une grosse pierre, que je vais emprunter à Moustapha Niasse (actuel Président de l’Assemblée nationale, qui, le 23 juin 2012, était muni d’une grosse pierre pour faire face à l’ancien Président Me Abdoulaye Wade et son régime”, a averti le Mollah de Khar Yalla.
Et inutile de lui faire avaler l’idée selon laquelle le Gouverneur de Dakar a sorti un arrêté pour interdire toute manifestation. Car Sidy Lamine Niasse rétorque : “la Constitution du Sénégal autorise le droit de manifester ; ce qu’aucune autorité administrative ne saurait dénier aux citoyens”.
Quand vous lui opposez la possibilité d’une répression policière qui pourrait être administrée aux libéraux, là aussi, Sidy Lamine Niasse ne veut rien entendre. “Si on nous tue, qu’on nous enterre à la Place de l’Obélisque, parce que celle-ci serait notre Place Tahrir”, se braque-t-il.
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