"Sur indication de la majorité des députés élus sur sa liste et à condition que le quota quantitatif des dix élus soit toujours constaté, le Parti démocratique sénégalais devrait être admis à former un groupe parlementaire en conservant la même dénomination que l'an dernier", ont dit Dias et ses camarades. Aussi, ont-il tenu à rappeler leur désaccord sur les nouvelles modifications apportées au règlement intérieur de l'Hémicycle. "Au Sénégal, il se trouve que les modifications contraignantes et restrictives du règlement intérieur ont rendu plus difficile la constitution ou la reconstitution de groupes parlementaires, ont enfermé les députés dans un corset s'apparentant au vote impératif, ont porté atteinte à la liberté de l'élu et, surtout, ont compliqué la situation", ont-il déploré.
Pour ce qui est des députés qui veulent quitter ou qui ont quitté leur groupe Jean Paul Dias déclare : "S'il remplissent les conditions quantitatives exigées, les autres députés ne se reconnaissant plus du groupe Pds ni du groupe Benno Bokk Yakaar devraient pouvoir aussi constituer un groupe d'indépendants ainsi que ce la existe dans d'autres parlements". Le Bcg trouve que "pour un pays dont l'Exécutif va donner des leçons de comportement démocratique ailleurs en Afrique, il est honteux de constater la situation actuelle à l'Assemblée nationale". "Il est du devoir du président de l'Assemblée nationale de régler politiquement cette affaire dans l'esprit préconisé... par le parti afin de ne pas laisser la démocratie parlementaire sénégalaise sombrer dans du juridisme, de la procédure politicienne surannée car, le blocage est beaucoup plus politique que juridique", concluent-ils dans Libération.
Pour ce qui est des députés qui veulent quitter ou qui ont quitté leur groupe Jean Paul Dias déclare : "S'il remplissent les conditions quantitatives exigées, les autres députés ne se reconnaissant plus du groupe Pds ni du groupe Benno Bokk Yakaar devraient pouvoir aussi constituer un groupe d'indépendants ainsi que ce la existe dans d'autres parlements". Le Bcg trouve que "pour un pays dont l'Exécutif va donner des leçons de comportement démocratique ailleurs en Afrique, il est honteux de constater la situation actuelle à l'Assemblée nationale". "Il est du devoir du président de l'Assemblée nationale de régler politiquement cette affaire dans l'esprit préconisé... par le parti afin de ne pas laisser la démocratie parlementaire sénégalaise sombrer dans du juridisme, de la procédure politicienne surannée car, le blocage est beaucoup plus politique que juridique", concluent-ils dans Libération.