"Le PUDC, sa vocation, c’est la libération de la femme rurale" par l’allègement des tâches ménagères ardues, le financement et la formation, en vue d’amener la gent féminine à participer à "l’émergence du pays’’ et à "lutter efficacement contre la pauvreté", a-t-il déclaré.
De manière générale, les études consacrées aux politiques publiques démontrent à travers le monde que "la cible pour atteindre le développement, c’est la femme", a fait valoir Souleymane Jules, dans un entretien avec la rédaction de l’APS dont il était l’invité.
"C’est pourquoi, nous avons mis l’accent sur l’accès à l’eau, avec 600 motos-pompes, la réalisation de pistes de production et sur les machines de transformations, afin de libérer les mains des femmes et des filles", a-t-il expliqué.
Selon le secrétaire d’Etat chargé du suivi du PUDC, "le Sénégal a intérêt à libérer les filles et à favoriser leur scolarisation et leur maintien à l’école’’, d’où les efforts des pouvoirs publics sénégalais visant à raccorder le maximum d’écoles au réseau électrique.
Aussi, s’est-il réjoui des "percées des filles qui sont aujourd’hui meilleures que les garçons dans les domaines scientifiques". "Il faut les accompagner et les aider à se rester le plus longtemps possible à l’école", a-t-il dit.
APS
De manière générale, les études consacrées aux politiques publiques démontrent à travers le monde que "la cible pour atteindre le développement, c’est la femme", a fait valoir Souleymane Jules, dans un entretien avec la rédaction de l’APS dont il était l’invité.
"C’est pourquoi, nous avons mis l’accent sur l’accès à l’eau, avec 600 motos-pompes, la réalisation de pistes de production et sur les machines de transformations, afin de libérer les mains des femmes et des filles", a-t-il expliqué.
Selon le secrétaire d’Etat chargé du suivi du PUDC, "le Sénégal a intérêt à libérer les filles et à favoriser leur scolarisation et leur maintien à l’école’’, d’où les efforts des pouvoirs publics sénégalais visant à raccorder le maximum d’écoles au réseau électrique.
Aussi, s’est-il réjoui des "percées des filles qui sont aujourd’hui meilleures que les garçons dans les domaines scientifiques". "Il faut les accompagner et les aider à se rester le plus longtemps possible à l’école", a-t-il dit.
APS