M. Sock a, d’après eux, non seulement convoqué le conseil avant la date retenue sans l’aval des parties mais aussi en deux lieux différents. Les parties du Sutelec se sont insurgées contre la candidature de Mademba Sock qu’elles jugent invalide. « En effet, il s’est fait élire en tant que délégué et membre du Conseil National de la sous-section syndicale de Vincens en évoquant l’article 12 du code du travail. Or cet article n’établit que son appartenance au syndicat. Il est écrit dans ledit article « Peuvent continuer à faire partie d’un syndicat professionnel des personnes qui ont quitté l’exercice de leur fonction ou de leur profession, sous réserve d’avoir exercé celle-ci au moins un an », ont expliqué les deux parties du Sutelec.
Ils ont affirmé qu’ils ne lui refusent pas sa qualité de membre du syndicat du Sutelec. Mais ont estimé qu’il doit intégrer la structure des retraités. Ils déclarent que « l’article 17 des statuts du Sutelec ne lui permet pas d’être délégué ou membre du Conseil National car M Sock, Secrétaire général sortant, jouit déjà de ses droits à la retraite et n’est plus actif pour Senelec depuis 2011, de surcroit depuis plus de cinq ans il n’est pas à jour de ses Check-off et enfin il n’appartient à aucune sous-section syndicale ».
Ils ont affirmé qu’ils ne lui refusent pas sa qualité de membre du syndicat du Sutelec. Mais ont estimé qu’il doit intégrer la structure des retraités. Ils déclarent que « l’article 17 des statuts du Sutelec ne lui permet pas d’être délégué ou membre du Conseil National car M Sock, Secrétaire général sortant, jouit déjà de ses droits à la retraite et n’est plus actif pour Senelec depuis 2011, de surcroit depuis plus de cinq ans il n’est pas à jour de ses Check-off et enfin il n’appartient à aucune sous-section syndicale ».