Sur les causes de l’incendie, nos sources pensent que l’enquête de la Police pourrait permettre d’apporter plus de lumière. Toutefois, font remarquer ces mêmes témoins, le siège de l’entreprise chinoise était dépourvue du minimum sur le plan de la sécurité. La preuve, font-ils valoir, «quand le vigile a voulu procéder à l’extinction du feu, il a cherché en vain un extincteur».
Pour le moment, les dégâts sont évalués provisoirement à une centaine de millions de francs Cfa. Au niveau de l’entreprise, la sécurité et la protection des ouvriers semblent être le cadet des soucis des dirigeants, qui n’ont même pas daigné affecter un médecin à la base de Touba. Le seul médecin dont dispose l’entreprise se trouve à Darou Mouhty, où les dirigeants ont établi leur Quartier général. Quoi qu’il en soit, cet incendie est arrivé au mauvais moment, en ce qu’il pousse des enquêteurs à se demander si des personnes ne l’auraient pas déclenché pour cacher des choses.
Ces soupçons s’ajoutent aux ennuis causés par le non paiement de la créance de 5 milliards de francs Cfa que l’Etat du Sénégal lui doit dans le cadre de la réalisation des chantiers du programme de modernisation de la ville de Touba, et derrière laquelle l’entreprise court depuis maintenant plusieurs années. Des chantiers qui sont aux arrêts depuis le mois de mai passé alors qu’ils devaient s’achever en 2012.
lequotidien.sn
Pour le moment, les dégâts sont évalués provisoirement à une centaine de millions de francs Cfa. Au niveau de l’entreprise, la sécurité et la protection des ouvriers semblent être le cadet des soucis des dirigeants, qui n’ont même pas daigné affecter un médecin à la base de Touba. Le seul médecin dont dispose l’entreprise se trouve à Darou Mouhty, où les dirigeants ont établi leur Quartier général. Quoi qu’il en soit, cet incendie est arrivé au mauvais moment, en ce qu’il pousse des enquêteurs à se demander si des personnes ne l’auraient pas déclenché pour cacher des choses.
Ces soupçons s’ajoutent aux ennuis causés par le non paiement de la créance de 5 milliards de francs Cfa que l’Etat du Sénégal lui doit dans le cadre de la réalisation des chantiers du programme de modernisation de la ville de Touba, et derrière laquelle l’entreprise court depuis maintenant plusieurs années. Des chantiers qui sont aux arrêts depuis le mois de mai passé alors qu’ils devaient s’achever en 2012.
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