La chambre criminelle de Tambacounda a condamné à 5 ans de travaux forcés Mouhamed Camara, accusé de crime, d'incendie volontaire de lieu d'habitation. Selon l'accusation, cet orpailleur avait mis le feu à la case de son voisin, qu'il soupçonne d'avoir entretenu des relations coupables avec sa femme.
Les faits ont eu au 25 septembre 2015 vers 3 heures du matin. Ce jour-là, M. Camara a été conduit à la brigade de gendarmerie de Bantaco par Ousmane Douno aidé par les villageois. Devant les pandores, le plaignant déclarait que le sieur Camara, son voisin de cour a mis le feu à sa case alors qu'il s'y trouvait.
Entendu à son tour, M. Camara a confirmé les dires de son accusateur. Seulement , il dira pour sa défense qu'il avait surpris celui en plein ébats avec son épouse.
Des accusation balayées d'un revers de main par la dame, qui entendue par les gendarmes, soutiendra qu'elle se trouvait cette nuit-là à une soirée dansante, avec la permission de son mari.
Les gendarmes ont entendu un témoin, Ibrahima Sidibé, voisin de Ousmane Douno, qui confirmera les dires de la dame.
Dans son réquisitoire, le ministère public a réclamé 10 ans de travaux forcés. La défense représentée par Me Assane Dioma Ndiaye a plaidé la clémence.
(Source: L'Obs)
Les faits ont eu au 25 septembre 2015 vers 3 heures du matin. Ce jour-là, M. Camara a été conduit à la brigade de gendarmerie de Bantaco par Ousmane Douno aidé par les villageois. Devant les pandores, le plaignant déclarait que le sieur Camara, son voisin de cour a mis le feu à sa case alors qu'il s'y trouvait.
Entendu à son tour, M. Camara a confirmé les dires de son accusateur. Seulement , il dira pour sa défense qu'il avait surpris celui en plein ébats avec son épouse.
Des accusation balayées d'un revers de main par la dame, qui entendue par les gendarmes, soutiendra qu'elle se trouvait cette nuit-là à une soirée dansante, avec la permission de son mari.
Les gendarmes ont entendu un témoin, Ibrahima Sidibé, voisin de Ousmane Douno, qui confirmera les dires de la dame.
Dans son réquisitoire, le ministère public a réclamé 10 ans de travaux forcés. La défense représentée par Me Assane Dioma Ndiaye a plaidé la clémence.
(Source: L'Obs)
Accueil
Envoyer à un ami
Partager sur facebook
