Quelque 68 poches de sang ont été recueillies au terme d’une opération de collecte, qui a démarré aux environs de 10 heures pour s’achever en début d’après-midi.
Cette opération est une initiative du mouvement hip-hop local et de l’hôpital régional, pour enrichir la banque de sang de l’hôpital régional.
Ce don a permis de recueillir une ‘’quantité non moins importante’’ de sang, par rapport au nombre d’élèves fréquentant cet établissement, soit plus de 1.500 lycéens, a indiqué le coordonnateur de cette initiative, Ibrahima Cissokho.
‘’Le geste ne s’arrêtera pas en si bon chemin. Il sera poursuivi dans d’autres structures scolaires, sanitaires ou autres sociétés de la place’’, a promis M. Cissokho, promoteur d’un label culturel.
‘’L’idée est née, a-t-il dit, d’un constat selon lequel à l’hôpital régional [de Tambacounda], cette denrée (le sang) est parfois rare. Raison pour laquelle, on y rencontre des anémiés, des femmes qui accouchent ou des accidentés qui ont besoin d’être secourus.’’
‘’C’est pour ces raisons que nous nous sommes portés volontaires pour jouer note partition sur le plan social’’, a-t-il ajouté.
’’Depuis trois ans’’, le mouvement travaille dans ce sens, selon l’acteur culturel, qui considère que ‘’le hip-hop, c’est le social et non la perversion, comme le pensent certains’’.
Dans cette logique visant à redorer le blason des rappeurs, le mouvement envisage d’‘’aider les élèves qui n’ont pas eu les moyens de s’inscrire à le faire, en leur cherchant des sponsors’’.
Coordonné par Ibrahima Cissokho, ce projet implique Seydina Barro d’African Vibes, Omar Tall de CBP et Abdoulaye Keïta de Tamba Sport.
Cette opération est une initiative du mouvement hip-hop local et de l’hôpital régional, pour enrichir la banque de sang de l’hôpital régional.
Ce don a permis de recueillir une ‘’quantité non moins importante’’ de sang, par rapport au nombre d’élèves fréquentant cet établissement, soit plus de 1.500 lycéens, a indiqué le coordonnateur de cette initiative, Ibrahima Cissokho.
‘’Le geste ne s’arrêtera pas en si bon chemin. Il sera poursuivi dans d’autres structures scolaires, sanitaires ou autres sociétés de la place’’, a promis M. Cissokho, promoteur d’un label culturel.
‘’L’idée est née, a-t-il dit, d’un constat selon lequel à l’hôpital régional [de Tambacounda], cette denrée (le sang) est parfois rare. Raison pour laquelle, on y rencontre des anémiés, des femmes qui accouchent ou des accidentés qui ont besoin d’être secourus.’’
‘’C’est pour ces raisons que nous nous sommes portés volontaires pour jouer note partition sur le plan social’’, a-t-il ajouté.
’’Depuis trois ans’’, le mouvement travaille dans ce sens, selon l’acteur culturel, qui considère que ‘’le hip-hop, c’est le social et non la perversion, comme le pensent certains’’.
Dans cette logique visant à redorer le blason des rappeurs, le mouvement envisage d’‘’aider les élèves qui n’ont pas eu les moyens de s’inscrire à le faire, en leur cherchant des sponsors’’.
Coordonné par Ibrahima Cissokho, ce projet implique Seydina Barro d’African Vibes, Omar Tall de CBP et Abdoulaye Keïta de Tamba Sport.
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