Les faits remontent au 15 octobre 2009. Tout s'accélère lorsque les éléments de la gendarmerie de Touba sont informés d’un meurtre commis à Darou Rahmanre, un des quartiers de la ville.
Arrivés sur les lieux du crime, les enquêteurs retrouvent le corps sans vie de Gorgui Fall. Ils y interpellent Moussa Kâ, retenu sur place par la clameur publique.
Il leur confie que son cousin Gorgui Fall et lui avaient un différend relatif à la vente d'un portable. Et que c'est lors d’une discussion âpre au cours de laquelle il réclamait à son cousin Gorgui Fall sa part de l’argent du portable vendu, qu’une bagarre a éclaté. C'est alors que l'irréparable s'est produit, avec un coup de couteau de l'accusé qui allait être fatal à la victime.
L’avocat général, dans son réquisitoire, a retenu la culpabilité de l’accusé, qui selon lui, a donné un coup violent à sa victime et qui plus est sur une partie sensible du corps, en l’atteignant au cou. De fait, il a requis sept ans de travaux forcés.
L’avocat de la partie civile a réclamé des dommages et intérêts d'un montant de deux millions de francs CFA pour tout le préjudice subi.
La cour d’assises, après son délibéré, a condamné Moussa Kâ à six ans de travaux, ainsi qu’à une amende de deux millions de francs CFA à payer au père de la victime.
APS
Arrivés sur les lieux du crime, les enquêteurs retrouvent le corps sans vie de Gorgui Fall. Ils y interpellent Moussa Kâ, retenu sur place par la clameur publique.
Il leur confie que son cousin Gorgui Fall et lui avaient un différend relatif à la vente d'un portable. Et que c'est lors d’une discussion âpre au cours de laquelle il réclamait à son cousin Gorgui Fall sa part de l’argent du portable vendu, qu’une bagarre a éclaté. C'est alors que l'irréparable s'est produit, avec un coup de couteau de l'accusé qui allait être fatal à la victime.
L’avocat général, dans son réquisitoire, a retenu la culpabilité de l’accusé, qui selon lui, a donné un coup violent à sa victime et qui plus est sur une partie sensible du corps, en l’atteignant au cou. De fait, il a requis sept ans de travaux forcés.
L’avocat de la partie civile a réclamé des dommages et intérêts d'un montant de deux millions de francs CFA pour tout le préjudice subi.
La cour d’assises, après son délibéré, a condamné Moussa Kâ à six ans de travaux, ainsi qu’à une amende de deux millions de francs CFA à payer au père de la victime.
APS
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