"Nous avons eu une longue discussion mais pour des raisons évidentes, je ne pouvais que refuser", explique le recordman des sélections en équipe de France, aujourd'hui retraité, dans Le Monde, daté du 4 février.
L'Elysée s'est refusé à tout commentaire.
Lilian Thuram avait multiplié les critiques à l'encontre de Nicolas Sarkozy, en particulier lors des émeutes des banlieues en 2005, lorsque le futur président officiait au ministère de l'Intérieur.
Au printemps 2007, il avait reproché au chef de l'Etat de tenir un "discours" raciste en créant un ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale.
L'ancien défenseur de la Juventus de Turin n'envisage pas pour le moment de se reconvertir dans la politique mais ne l'exclut pas à terme.
"La politique est quelque chose de très noble qui ne tolère pas l'à-peu-près. Il faut apprendre les choses. C'est ce que je fais en ce moment en rencontrant des gens de différents horizons. Un jour, peut-être...", dit-il.
Gérard Bon, édité par Gilles
Reuters
L'Elysée s'est refusé à tout commentaire.
Lilian Thuram avait multiplié les critiques à l'encontre de Nicolas Sarkozy, en particulier lors des émeutes des banlieues en 2005, lorsque le futur président officiait au ministère de l'Intérieur.
Au printemps 2007, il avait reproché au chef de l'Etat de tenir un "discours" raciste en créant un ministère de l'Immigration et de l'Identité nationale.
L'ancien défenseur de la Juventus de Turin n'envisage pas pour le moment de se reconvertir dans la politique mais ne l'exclut pas à terme.
"La politique est quelque chose de très noble qui ne tolère pas l'à-peu-près. Il faut apprendre les choses. C'est ce que je fais en ce moment en rencontrant des gens de différents horizons. Un jour, peut-être...", dit-il.
Gérard Bon, édité par Gilles
Reuters
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