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Trafic d’armes et de munitions : Le Sénégalais Samba Boye alpagué en afrique du Sud


Rédigé par leral.net le Mardi 24 Janvier 2017 à 08:44 | | 0 commentaire(s)|

La police de Phalaborwa et l'Unité nationale d'intervention (NIU) ont arrêté un ressortissant sénégalais de 44 ans et son complice, un Sud-Africain de 40 ans soldat dans la Force de défense sud-africaine (SANF) pour possession illégale de munitions.
La police de Phalaborwa et l'Unité nationale d'intervention (NIU) ont arrêté un ressortissant sénégalais de 44 ans et son complice, un Sud-Africain de 40 ans soldat dans la Force de défense sud-africaine (SANF) pour possession illégale de munitions.
 
 Le Service de police sud-africain(SAPS) a arrêté un membre de la Force de défense nationale sud-africaine (SANF) qui avait en sa possession 600 munitions. Le cerveau de cette affaire se révèle être un Sénégalais du nom de Samba Boye qui a été lui aussi arrêté à la suite d'une perquisition accablante.
 
Le quotidien Libération est en mesure de révéler que la police de Phalaborwa et l'Unité nationale d'intervention (NIU) ont arrêté un ressortissant sénégalais de 44 ans et son complice, un Sud-Africain de 40 ans, soldat dans la Force de défense sud-africaine (SANF) pour possession illégale de munitions. Le soldat a été vu portant un sac sur la rue Spekboom à Phalaborwa le 14 janvier vers 17h30.
 
Les policiers ont entrepris de le fouiller et, au cours de la recherche, ont trouvé 663 munitions de 7,62mm. Son complice sénégalais a été emmené à la même date vers 19h00 à son domicile, où 17 balles de munitions pour un pistolet de 9 mm ont été retrouvées en sa possession.
 
 
Le soldat du nom de Santos Léon Congo a été libéré sous caution et son dossier renvoyé au 10 mars tandis que Samba Boye a été placé en détention provisoire jusqu'au 23 janvier, le temps que les juges se penchent sur sa demande de mise en liberté sous caution. En attendant la poursuite de l'enquête, la police sud-africaine est persuadé d'avoir mis fin à un intense trafic de munitions et d'armes volées aux forces de défense et écoulées sur le marché noir. L'affaire pourrait même avoir d'autres ramifications.
 
Libération