‘’Nous sommes en tain d’étudier le plan cadre national de lutte contre le travail des enfants qui doit être présenté aux autorités compétentes pour son adoption politique’’, a déclaré lundi, Fatimata Kane Sarr, coordonnatrice du projet du BIT.
Elle s’exprimait lors d’une conférence de presse en prélude à la journée mondiale contre le travail des enfants, prévue mardi.
‘’Chaque pays signataire est tenu d’avoir une politique nationale de lutte contre le travail des enfants. Chaque pays signataire doit également avoir des programmes d’action directe, qui sont en réalité des programmes qui permettront non seulement de prévenir le travail des enfants, mais aussi de retirer les enfants du travail’’, a-t-elle souligné.
‘’Il y des stratégies qui sont mises en place par l’Etat notamment le Document stratégique de réduction contre la pauvreté (DRSRP2)’’, a indiqué Ibra Mbodj, représentant du ministère de la Fonction publique et des Relations avec les Institutions.
Selon lui, ‘’il y a un engagement pris par l’Etat à travers la ratification des Conventions 138 et 182 du BIT pour mener une politique nationale’’ de lutte contre le travail des enfants.
‘’Par rapport à cela, des actions sont en train d’être menées. Nous avons revisité le plan cadre de lutte contre le travail des enfants dans le but de son actualisation pour son adoption et bientôt, il s’agira de son adoption politique pour qu’il soit un document de référence où tous les acteurs se retrouvent’’, a expliqué M. Mbodj.
Le rapport de BIT en date de 2010 fait état de 215 millions d’enfants qui travaillent dans le monde.
‘’Le travail des enfants est en net recule dans le monde sauf en Afrique sub-saharienne’’, à dit la coordonnatrice du projet du BIT, ajoutant que ce phénomène social s’explique par la pauvreté et l’exclusion.
SOURCE:KS/OID/AD
Elle s’exprimait lors d’une conférence de presse en prélude à la journée mondiale contre le travail des enfants, prévue mardi.
‘’Chaque pays signataire est tenu d’avoir une politique nationale de lutte contre le travail des enfants. Chaque pays signataire doit également avoir des programmes d’action directe, qui sont en réalité des programmes qui permettront non seulement de prévenir le travail des enfants, mais aussi de retirer les enfants du travail’’, a-t-elle souligné.
‘’Il y des stratégies qui sont mises en place par l’Etat notamment le Document stratégique de réduction contre la pauvreté (DRSRP2)’’, a indiqué Ibra Mbodj, représentant du ministère de la Fonction publique et des Relations avec les Institutions.
Selon lui, ‘’il y a un engagement pris par l’Etat à travers la ratification des Conventions 138 et 182 du BIT pour mener une politique nationale’’ de lutte contre le travail des enfants.
‘’Par rapport à cela, des actions sont en train d’être menées. Nous avons revisité le plan cadre de lutte contre le travail des enfants dans le but de son actualisation pour son adoption et bientôt, il s’agira de son adoption politique pour qu’il soit un document de référence où tous les acteurs se retrouvent’’, a expliqué M. Mbodj.
Le rapport de BIT en date de 2010 fait état de 215 millions d’enfants qui travaillent dans le monde.
‘’Le travail des enfants est en net recule dans le monde sauf en Afrique sub-saharienne’’, à dit la coordonnatrice du projet du BIT, ajoutant que ce phénomène social s’explique par la pauvreté et l’exclusion.
SOURCE:KS/OID/AD