Courte conférence de presse avant les entretiens, c’est très inhabituel, mais très habile. Cela a permis à Donald Trump et Benyamin Netanyahu de répondre aux questions précises des journalistes : « Nous n’en avons pas encore parlé, nous allons nous voir pour en discuter ».
Sur la solution à deux Etats, Donald Trump répond : « Je veux ce que les parties aux conflits souhaitent. Ce n’est pas à moi de décider ». Benyamin Netanyahu enchaîne : « J’ai deux conditions préalables : la reconnaissance d’Israël, et la maîtrise de la sécurité de l’ensemble ».
Sur les colonies, le président américain répond - c'est la seule phrase vague, mais sans ambiguïté : « Nous demandons à Israël de freiner ». Benyamin Netanyahu en revanche, a botté en touche.
Enfin, sur le transfert de l’ambassade américaine à Jérusalem, Donald Trump, ainsi qu’on l’a compris depuis plusieurs semaines, n’est plus aussi pressé que pendant la campagne électorale. Le président Trump aimerait voir l'ambassade des Etats-Unis à Jérusalem et examine la question « très soigneusement ».
Ce que l’on peut ajouter à ce stade, c'est que la réception fut extrêmement chaleureuse, et cette ambiance est en effet très différente des relations glaciales entre Benyamin Netanyahu et Barack Obama.
Le Premier ministre israélien a mis en exergue ses très longues relations d’amitié avec Donald Trump, et avec la famille de son gendre Jared Kushner. Le président américain a répété que l’Etat israélien ne pouvait avoir de meilleur soutien que le sien, puisque son gendre et ses trois petits-enfants sont juifs et que sa fille Ivanka, qui assistait à la conférence, s'est convertie.
Rfi
Sur la solution à deux Etats, Donald Trump répond : « Je veux ce que les parties aux conflits souhaitent. Ce n’est pas à moi de décider ». Benyamin Netanyahu enchaîne : « J’ai deux conditions préalables : la reconnaissance d’Israël, et la maîtrise de la sécurité de l’ensemble ».
Sur les colonies, le président américain répond - c'est la seule phrase vague, mais sans ambiguïté : « Nous demandons à Israël de freiner ». Benyamin Netanyahu en revanche, a botté en touche.
Enfin, sur le transfert de l’ambassade américaine à Jérusalem, Donald Trump, ainsi qu’on l’a compris depuis plusieurs semaines, n’est plus aussi pressé que pendant la campagne électorale. Le président Trump aimerait voir l'ambassade des Etats-Unis à Jérusalem et examine la question « très soigneusement ».
Ce que l’on peut ajouter à ce stade, c'est que la réception fut extrêmement chaleureuse, et cette ambiance est en effet très différente des relations glaciales entre Benyamin Netanyahu et Barack Obama.
Le Premier ministre israélien a mis en exergue ses très longues relations d’amitié avec Donald Trump, et avec la famille de son gendre Jared Kushner. Le président américain a répété que l’Etat israélien ne pouvait avoir de meilleur soutien que le sien, puisque son gendre et ses trois petits-enfants sont juifs et que sa fille Ivanka, qui assistait à la conférence, s'est convertie.
Rfi