« Si elle a la possibilité de choisir ses juges, il n’y a rien que vous puissiez faire, les gars », a prévenu le candidat républicain. « Quoique, avec le deuxième amendement, peut-être qu’il y a une solution, je ne sais pas… », a-t-il ajouté, déclenchant une nouvelle controverse avec cette déclaration considérée par beaucoup comme un appel à la violence.
Hillary Clinton a déploré dans un communiqué des « propos inacceptables de la part d’un candidat à la présidence », ajoutant : « Nous devons montrer que nous ne tolérons pas ce type de politique en Amérique. » Son directeur de campagne, Robby Mook, a de son côté rapidement accusé le candidat républicain d’utiliser un « langage dangereux ».
Le monde
Thierno Maliçck Ndiaye
(Stagiaire)
Hillary Clinton a déploré dans un communiqué des « propos inacceptables de la part d’un candidat à la présidence », ajoutant : « Nous devons montrer que nous ne tolérons pas ce type de politique en Amérique. » Son directeur de campagne, Robby Mook, a de son côté rapidement accusé le candidat républicain d’utiliser un « langage dangereux ».
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(Stagiaire)