Ils se mènent une guerre larvée. Il s’agit du Président de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Dakar, Lamine Niang, du Président de l’Union nationale des chambres de commerce, d’industrie et d’agriculture (Unccias), Serigne Mboup, ainsi que des Organisations patronales comme le Cnp, le Cnes ou le Mdes.
D’après Libération, le coup de froid survenu entre Lamine Niang et Serigne Mboup n’est ni plus ni moins que la résultante d’une litanie de missives salées entre les deux. C’est, d’abord, le patron de l’Unccias qui a adressé une correspondance au chef de file de la Cciad, pour lui demander la tenue d’une séance de travail.
Et ce, pour la répartition des compétences entre les deux institutions, en ce qui concerne les relations internationales, les rapports avec les Chambres consulaires internationales et les missions ; la représentation dans les organes de l’Etat et dans lesquels le siège est occupé par la Cciad et la gestion de certains projets, fonds ou ouvrages qui ont un caractère national.
Mais erreur ! Car c’est cette lettre de Serigne Mboup qui a mis Lamine Niang dans un état inqualifiable. D’où sa réponse en date du 1er Septembre 2015. Et qui se passe de commentaire, si on parcourt Libération.
Actusen.com
D’après Libération, le coup de froid survenu entre Lamine Niang et Serigne Mboup n’est ni plus ni moins que la résultante d’une litanie de missives salées entre les deux. C’est, d’abord, le patron de l’Unccias qui a adressé une correspondance au chef de file de la Cciad, pour lui demander la tenue d’une séance de travail.
Et ce, pour la répartition des compétences entre les deux institutions, en ce qui concerne les relations internationales, les rapports avec les Chambres consulaires internationales et les missions ; la représentation dans les organes de l’Etat et dans lesquels le siège est occupé par la Cciad et la gestion de certains projets, fonds ou ouvrages qui ont un caractère national.
Mais erreur ! Car c’est cette lettre de Serigne Mboup qui a mis Lamine Niang dans un état inqualifiable. D’où sa réponse en date du 1er Septembre 2015. Et qui se passe de commentaire, si on parcourt Libération.
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