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Une clause non écrite du « protocole de Doha » interdirait à Karim Wade d’aller en France dans l’immédiat


Rédigé par leral.net le Lundi 21 Novembre 2016 à 21:56 | | 0 commentaire(s)|

Selon l’une des amies de Karim Wade cité par jeuneafrique, une clause non écrite du « protocole de Doha » lui ferait interdiction, dans l’immédiat, de poser le pied dans l’Hexagone ».
Selon l’une des amies de Karim Wade cité par jeuneafrique, une clause non écrite du « protocole de Doha » lui ferait interdiction, dans l’immédiat, de poser le pied dans l’Hexagone ».
 
Le fait que Karim Wade n’a pas encore revu ses parents Abdoulaye et Vivianne Wade est la résultante d’une clause non écrite du protocole de Doha l’interdisait au candidat en puissance du PDS pour l’élection présidentielle.
 
«Ses trois filles, qui vivaient à Paris, ont pris leurs quartiers à Doha. En revanche, Karim Wade n’a pas revu ses parents depuis sa libération. Selon l’une des amies de Karim Wade cité par jeuneafrique, une clause non écrite du « protocole de Doha » lui ferait interdiction, dans l’immédiat, de poser le pied dans l’Hexagone ».
 
« Ils ne voulaient pas que Karim s’installe dans un pays où la communauté sénégalaise est importante », a aussi ajouté l’un de ses avocats.
 
Rappelons que Karim Wade, condamné à six ans de prison pour enrichissement illicite, a été libéré en juin dernier à la suite d'une grâce du président Macky Sall, pour se rendre au Qatar..
 
Auparavant, Jeune Afrique avait publié dernièrement une enquête intitulée «L'énigme Karim Wade». L'hebdomadaire revenait ainsi sur la libération du fils de l'ex-président il y a cinq mois.
L'article a aussi révélé que Karim Wade a bénéficié d'un passeport diplomatique pour quitter le Sénégal et que cette libération impose à l'ex-«ministre du ciel et de la terre», comme on le surnomme, de garder le silence. Des révélations qui ont obligé les autorités à réagir.
 
A la présidence de la République du Sénégal, El Hadj Kassé avait parlé de « spéculations fondées sur une fiction ».
 
Tandis que Seydou Guèye, le porte-parole du gouvernement, réfutait également l'existence d'un protocole d’accord.
 
Massène Diop Leral.net