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Une histoire de fesses entre une secrétaire et un haut cadre

Rédigé par leral.net le Vendredi 18 Avril 2014 à 15:19 | | 1 commentaire(s)|

C’est l’histoire d’un jeune médecin dont la femme entretient des relations extraconjugales avec son patron, un haut cadre du centre… En effet tout commence lorsque BT, l’époux de MD est muté au nord pendant la période de crise dans la région de Gao comme médecin. BT, le mari de MD et elle-même travaillait tous dans les mains de la même personne qui est un cadre de la santé au Mali que nous appellerons ici SS. Le cumul, de sa fonction au centre et à la CA…


Une histoire de fesses entre une secrétaire et un haut cadre
Lui donne une grande aisance financière et ainsi, il parvient à faire un trafic d’influence, sans commentaire. BT et SS se connaissent depuis les années 2005 et ont même travaillé ensemble, c’est de cette relation professionnelle que sont nés des liens d’amitié qui ont fait que le patron de BT, SS a recruté l’épouse de ce dernier dans son service comme Secrétaire. Mais les années passant et l’habitude étant une seconde nature SS, le patron de BT et de sa femme n’a pu s’empêcher de courir la femme de son jeune ami médecin. Pour mener à bien son malicieux projet, il profite d’une aubaine qui lui est donnée lorsque BT est muté au nord pour servir comme le médecin qu’il est. En ce moment, SS et MD ont commencé à avoir des comportements pas très courants entre une employée et son patron. «Le chien ne pouvant pas changer sa manière de s’asseoir parce que s’il se trouve chez ses beaux parents », la réputation de coureur de jupon de SS s’est avérée une vérité toute crue. Le patron entretenait bel et bien une relation outre que professionnelle avec sa secrétaire. MD, s’attardait au boulot même après la descente. Elle a commencé à recevoir des appels à des heures anormales, et a commencé à avoir des objets de valeur dont son pouvoir d’achat ne pouvait lui permettre l’acquisition. Vu cet état de fait, certains collègues de BT, ont préféré lui mettre la puce à l’oreille afin qu’il vienne chercher une solution pour sauver son couple. Pour enfoncer le clou, les enfants de BT qui étaient inscrits dans une école prestigieuse de la place s’attardaient à l’école dans l’attente de leur maman qui devait venir les chercher. Les enfants attendaient jusqu’à 20h souvent pour voir leur maman venir les chercher. Ayant fait le constat, la directrice de l’école a contacté BT pour lui dire de venir chercher plutôt ses enfants, car ils trainaient dans la cour plusieurs heures après la descente. C’est cet appel en plus de l’avertissement de ses collègues qui ont réellement semé le doute dans l’esprit du jeune médecin. A son retour de la région de Gao, BT a mené des enquêtes pour voir qu’en était il de la situation, il ne tarda pas à se rendre compte que ce qui se disait était bel et bien vrai. Sa femme MD, sort avec le patron SS. C’est alors que BT a commencé à faire intervenir des collègues afin de conscientiser sa femme pour qu’elle revienne à la raison. Toutes ses tentatives furent vaines. BT a alors entamé des investigations avec l’aide de police en réquisitionnant, les relevés d’appels et de SMS que son épouse et SS s’échangeaient même en dehors des heures de travail. Ayant appris cela, la bonne dame a tout bonnement ramassé ses effets pour abandonner le domicile conjugal. L’époux, un intellectuel avisé a jugé nécessaire de faire constater l’abandon du domicile conjugal par un huissier de justice afin de se mettre à l’abri. Ceci étant, BT a porté plainte contre son épouse MD pour abandon du domicile, le 16 décembre 2013, conjugal et relation extraconjugale. Mais la plainte n’a jamais eu une réponse. Il a encore introduit une seconde plainte qui a subi le même sort que la précédente. Quelques temps après, BT est appelé par un juge de la commune IV, qui lui dit que SS est venu se plaindre quoi qu’il est en train de le diffamer en l’accusant d’avoir des relations avec sa femme, et que si BT n’arrêtait pas, il allait le mettre aux arrêts. Ce dernier a rétorqué qu’au lieu de chercher à l’intimider, si SS était sûr de lui qu’il dépose une plainte en bonne et due forme pour diffamation et que le tribunal les confronte. Juste quelques temps après MD, l’épouse de BT, porte plainte au même tribunal où BT n’a reçu aucune réponse à ses deux plaintes, et obtient une séparation de corps de 6 mois avec une amende de 250 000FCFA aux dépens de BT. Après la séparation de corps, Mme obtient encore le divorce au détriment de BT, qui perd la garde de ses enfants, et n’a le droit de voir ses enfants que pendant les congés avec une allocation de 30 000FCFA par mois.
Voilà l’histoire de BT qui malgré qu’étant victime des sales pratiques de sa femme et de son patron se retrouve malmené par une justice dont on ignore les réelles motivations dans cette affaire. Ainsi l’influence de son patron SS, et le pouvoir de ce dernier ont arraché à BT sa famille pour le plonger dans une situation où personne ne saurait où donner de la tête. SS est donc de cette race de cadre, sans foi, ni loi qui n’ont aucune gène à briser même les liens du mariage malgré leurs caractères sacrés, pour juste leur plaisir. Depuis bientôt une année, la désormais ex épouse de BT, vit dans une maison qu’elle loue à Torokoro en CV, et malgré la crise, selon les dernières nouvelles s’est même offerte une nouvelle voiture. En ce qui concerne BT, qui nous raconte son périple lors d’un entretien que nous avons eu avec lui, il est d’accord avec le principe du divorce, mais pas pour ce qui est de la garde de ses enfants avec une femme de mauvaise moralité. Et cette situation est dors et déjà en train d’impacter négativement sur les résultats scolaires des enfants qui ont d’ailleurs déclaré à l’école vouloir rejoindre leur père. C’est dire que dans notre pays, la justice est du coté du plus fort, sinon une femme qui a abandonné son foyer et ses enfants peut-elle obtenir gain de cause de cette façon face à un innocent dont le seul péché a été de vouloir laisser son épouse exercer un métier. Pour ce qui de SS, il ne serait pas à sa première expérience. Car selon les informations que nous avons reçues, il vivrait seul dans son domicile, une villa en commune V, et compte tenu de l’absence de sa femme qui vit à l’étranger dans son pays d’origine, SS s’adonne à cœur joie avec les femmes qui travaillent à son service. Mariée ou pas, cela ne lui pose aucun problème, juste libérer sa libido. Quelle justice ? Et dans quel monde sommes-nous ?
Hamidou N’gatté