"Les autorités ont interdit plusieurs manifestations pacifiques d’organisations de la société civile et de partis politique et arrêté des manifestants", a dit le secrétaire général de la section sénégalaise d’Amnesty international, Seydi Gassama qui souligne qu’il s’agit d’une « mesure scélérate et injuste que le pouvoir actuel avait dénoncé ».
En octobre 2011, les forces de sécurité ont utilisé du gaz lacrymogène pour disperser une manifestation pacifique organisée par l’opposition, a rappelle Seydi Gassama qui explique que : «le préfet avait évoqué le fameux arrêté dite l’arrêté de ‘’Ousmane Ngom’’ qui bafoue la liberté des individus pour justifier sa position ».
Cet arrêté interdit toute manifestation dans le centre-ville de Dakar
« Nous ne pouvons pas comprendre que les gens puissent manifester devant les portes de l’Elysée, devant la Maison-Blanche, devant les Nations-Unies, tandis qu’au Sénégal on dise aux gens que vous ne pouvez pas manifester dans le quartier du Plateau », a déploré le secrétaire général de Amnesty Sénégal.
Amnesty international Sénégal exhorte l’Etat de respecter la liberté de manifestation pacifique, en donnant des instructions claires en ce sens aux préfets et sous-préfets et en abrogeant l’arrêté ministériel de 2011 (arrêté Ousmane Ngom), a indiqué M. Gassama.
Thierno Malick Ndiaye
En octobre 2011, les forces de sécurité ont utilisé du gaz lacrymogène pour disperser une manifestation pacifique organisée par l’opposition, a rappelle Seydi Gassama qui explique que : «le préfet avait évoqué le fameux arrêté dite l’arrêté de ‘’Ousmane Ngom’’ qui bafoue la liberté des individus pour justifier sa position ».
Cet arrêté interdit toute manifestation dans le centre-ville de Dakar
« Nous ne pouvons pas comprendre que les gens puissent manifester devant les portes de l’Elysée, devant la Maison-Blanche, devant les Nations-Unies, tandis qu’au Sénégal on dise aux gens que vous ne pouvez pas manifester dans le quartier du Plateau », a déploré le secrétaire général de Amnesty Sénégal.
Amnesty international Sénégal exhorte l’Etat de respecter la liberté de manifestation pacifique, en donnant des instructions claires en ce sens aux préfets et sous-préfets et en abrogeant l’arrêté ministériel de 2011 (arrêté Ousmane Ngom), a indiqué M. Gassama.
Thierno Malick Ndiaye