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VIRÉES NOCTURNES ET SORTIES EN CASINO: «Le Quotidien» refuse de publier un démenti de la Dic

Que ceux qui sont dans l’entourage du président de la République et qui se sentent concernés par les virées nocturnes et les sorties en Casino envoient un démenti au journal Le Quotidien


Rédigé par leral.net le Mardi 1 Septembre 2009 à 20:53 | | 2 commentaire(s)|

VIRÉES NOCTURNES ET SORTIES EN CASINO: «Le Quotidien» refuse de publier un démenti de la Dic
Que ceux qui sont dans l’entourage du président de la République et qui se sentent concernés par les virées nocturnes et les sorties en Casino envoient un démenti au journal Le Quotidien, comme l’a fait Me Madické Niang et Abdoulaye Baldé, s’ils veulent que l’information soit démentie. C’est en quelque sorte le dernier mot des journalistes qui sont retournés hier à la Dic.




Comme beaucoup de métiers, celui de journalisme est régi par des normes, qui ont pour nom éthique et déontologie. Et après avoir donné une information, on ne peut pas revenir donner une information contraire ou même publier un démenti.

À moins que les personnes concernées par l’information ne vous envoient un démenti, ou qu’on se rende compte qu’on s’est trompé de bonne foi ou bien encore que la source de l’information revienne pour dire qu’elle s’est trompée. Et c’est ce que Mme Aminatou Mouhamed Diop Ndiaye, directrice de publication par intérim du journal Le Quotidien, a fait savoir aux enquêteurs de la Division des investigations criminelles (Dic). A sa sortie d’audition en compagnie de Mouhamed Guèye, auteur de l’article incriminé, Mme Ndiaye a expliqué que c’est ce qu’il a tenté de faire savoir aux enquêteurs de la Dic. C’est-à-dire que sur l’information concernant les virées nocturnes et les sorties en Casino de l’entourage du Président, son journal ne peut pas publier un démenti. Car non seulement «ils ont foi à leurs sources» et «jusqu’au moment de l’audition, ces informations n’ont pas été démenties». Par conséquent, le journal Le Quotidien maintient «le contenu de son article jusqu’à preuve du contraire». La Dic leur a demandé de rester à leur disposition. Les enquêteurs ont leurs contacts et, au besoin, ils vont entrer en contact avec eux.

Les deux journalistes ne sont pas restés pendant 5 tours d’horloge à discuter uniquement de cette question. Mme Ndiaye raconte qu’avec les enquêteurs, ils sont revenus sur l’article publié sur le sommet de crise convoquée par Me Wade. «Concernant ces informations, jusqu’à samedi dernier, nous n’avions pas reçu de démenti par rapport à ces informations. Mais, il se trouve que dimanche, le ministre d’Etat, ministre de la Justice Me Madické Niang a appelé pour nous signifier que lui et M. Abdoulaye Baldé n’ont été, ni en France, ni en Suisse. Nous avons pris acte de ces informations, nous avons fait la précision dans notre édition d’aujourd’hui, lundi 31 août. Nous avons précisé et nous l’avons fait savoir aux enquêteurs de la Dic qu’il y a eu un premier démenti que nous avons lu dans la presse, mais nous ne nous sentions pas concernés par ce démenti, étant donné qu’il ne nous avait pas été envoyé», déclare Mme Ndiaye.



Le procureur arrête les poursuites contre Walf Grand Place

Les sorts n’ont pas été les mêmes pour les deux groupes de presse. Car les comportements n’ont pas été les mêmes. Jean Meïssa Diop, directeur de publication du quotidien Walf Grand Place, et Faydy Dramé, journaliste auteur de l’article incriminé, n’ont pas duré dans les locaux de la Dic. Dès qu’ils sont arrivés, ils ont été acheminés au bureau du chef de la Dic. Ce dernier a dit aux deux journalistes que le procureur de la République arrête les poursuites contre eux. Et qu’ils peuvent retourner tranquillement à leur rédaction. Sans explication. Mais, le journaliste auteur de l’article incriminé a déclaré que, vendredi dernier, les enquêteurs de la Dic leur avaient demandé d’écrire dans leur journal du samedi que les filles de Me Madické Niang et de Cheikh Tidiane Sy ne sont pas impliquées dans le dossier. Et les journalistes avaient accepté. Alors, «dans l’édition du samedi, nous avons sorti cette précision dans laquelle on peut lire que la fille de Me Madické Niang et celle de Cheikh Tidiane Sy ne sont pas impliquées dans cette affaire en tant que partie civile», explique Faydy Dramé. Conséquence, les poursuites sont arrêtées.

Latir Mane
Source L'Observateur

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1.Posté par Abdoulaye le 02/09/2009 00:18 | Alerter
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QUOI FAIRE DEVANT CE SÉNÉGAL EN CRISE, CE SÉNÉGAL CHAOS.

SEULE UNE SÉRIE DE VIOLENCE QUI DÉPASSE NOTRE PRÉSIDENT ET SON ENTOURAGE DEGEU PEUT LUI FAIRE RAMENER SA RAISON.

LE SÉNÉGAL....................... MAINTENANT, C'EST DU N'IMPORTE QUOI. JE ME DEMANDE MÊME DES FOIS, DANS QUEL PAYS JE SUIS.

• COUPURE ÉLECTRICITÉ
• COUPURE D'EAU (PENDANT 35 JOURS, MÊME PAS UNE GOUTE D'EAU)
• CHAIRE-TÉ DE LA VIE
• DES SALAIRES NON PAYE
• DES VOLS ET DÉTOURNEMENT D'ARGENT PUBLIC
• DES CRIMES HORRIBLES
• SÉRIE DE MEURTRES A L'ARME BLANCHE
• LA CORRUPTION
• LA MAL GOUVERNANCE
• LES PROMESSES NON TENUS
• DES MENSONGES A GOGO
• UN GASPILLAGES ILLIMITÉES
• VIOLS
• ÉMEUTES
• INSÉCURITÉ
• ESCROQUERIE
• IMMIGRATION CLANDESTINE
• ET QUOI D’AUTRES

ON SE FOU DE NOS GUEULES ET PERSONNES NE DIT RIEN.
ON NOUS MET DANS LA MERDE MAIS ON RESTE TOUJOURS PASSIVE.
ON NOUS VOLS NOS BIENS, ON NOUS MENT, ON NOUS INSULTE, MAIS TOUT LE MONDE BAISSE LA TÊTE.

MAIS OU EST LE "DJOM" LE "FOULEUH" LE "FIITE" DONT ON NOUS A TOUJOURS CONNU AVEC.

QU'EST CE QU'IL FAUT DE PLUS. UNE BOMBE NUCLÉAIRE.
UN MASSACRE...................... QUOI ????????????????????????????

DITES NOUS QU'EST CE QUE VOUS VOULEZ DE PLUS.
ON N’A PAS ASSEZ VU, ENTENDU, ...................

C’EST DU N’IMPORTE QUOI

C’EST DÉCEVANT ET DÉCOURAGEANT.

2.Posté par bisap le 03/09/2009 20:28 | Alerter
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jules ndéné, il faut aider les agents du commissariat à la sécurité alimentaire, deux mois sans salaires, des péres et mères de famille fatigués, vos ministres awa ndiaye, farba senghor et aida mbodji, ont mis le csa à genoux, ils ont vendu tous le stock, aidez-les, ils sont fatigués, dieu vous paiera en ce mois béni du ramadan

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