Aliou Cissé, le sélectionneur de "Lions" avait affirmé que si le Sénégal se qualifiait au Mondial 2018, il allait se débarrasser de ses rastas. Eh bien, après la victoire sur l’Afrique du Sud, a été pris d’assaut dans les vestiaires par ses joueurs, qui exigeaient de lui qu’il respecte sa promesse.
Avec une paire de ciseaux et tenant quelques mèches du coach, Sadio Mané était à deux doigts de passer à l’acte, mais il finit par lui par « pardonner.» Mais en lieu et place, ils ont exigé de lui, des pas de danse. Et il n’était pas le seul. Avant, Augustin Senghor et Saër Seck ont aussi été forcés à danser par les joueurs. Réticents au début, le président de la Fédé, son vice-président ainsi qu’Abdoulaye Sow ont fini par fouler la piste de danse.
Avec une paire de ciseaux et tenant quelques mèches du coach, Sadio Mané était à deux doigts de passer à l’acte, mais il finit par lui par « pardonner.» Mais en lieu et place, ils ont exigé de lui, des pas de danse. Et il n’était pas le seul. Avant, Augustin Senghor et Saër Seck ont aussi été forcés à danser par les joueurs. Réticents au début, le président de la Fédé, son vice-président ainsi qu’Abdoulaye Sow ont fini par fouler la piste de danse.
L’Observateur
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