Au pays de l'oncle Sam, "the time is money" est bien un vécu quotidien. Qui ne le croit pas n'a qu'à demander à Barack Obama, qu'est-ce que c'est perdre une minute. Il vous aurait répondu que cette minute vaut de l'or. L'actuel locataire de la Maison blanche a été obligé d'attendre avec angoisse l'un de ses prédécesseurs, Bill Clinton, pour décoller de l'aéroport de Jérusalem (Israël), vendredi 30 octobre. L'ancien président des Etats-Unis, venu lui aussi assister aux obsèques de Shimon Peres, n'était visiblement pas pressé de quitter le tarmac.
“Bill, je dois rentrer à la maison !”
A l'entrée d’Air Force One, Barack Obama a été obligé de rappeler à l'ordre son camarade. “Bill, allons-y, peut-on l'entendre crier depuis la porte de l'appareil. Je dois rentrer à la maison.” Mais l'ancien chef d'Etat s'est fait prier et l'actuel président a multiplié les appels et les gestes de la main pour l'enjoindre à monter dans l'appareil.
Bill Clinton a fini par obtempérer et les deux hommes se sont retrouvés, rieurs, à l'entrée de l'avion. La scène, captée par les caméras de télévision, se conclut par une poignée de mains et une petite tape dans le dos entre le président et son prédécesseur.
Source: news yahoo
“Bill, je dois rentrer à la maison !”
A l'entrée d’Air Force One, Barack Obama a été obligé de rappeler à l'ordre son camarade. “Bill, allons-y, peut-on l'entendre crier depuis la porte de l'appareil. Je dois rentrer à la maison.” Mais l'ancien chef d'Etat s'est fait prier et l'actuel président a multiplié les appels et les gestes de la main pour l'enjoindre à monter dans l'appareil.
Bill Clinton a fini par obtempérer et les deux hommes se sont retrouvés, rieurs, à l'entrée de l'avion. La scène, captée par les caméras de télévision, se conclut par une poignée de mains et une petite tape dans le dos entre le président et son prédécesseur.
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