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Violée Alimatou est mère à 12 ans: Récit d’une vie sombre

Violée à l’âge de 12 ans par son voisin, Alimatou, nom d’emprunt, est revenue sur les 9 mois de sa grossesse, la période la plus dure de sa fille d’adolescente. Une période qui aboutira à une vie pleine d’amour et de tendresse qu’elle partage avec sa fille.


Rédigé par leral.net le Samedi 9 Mars 2013 à 11:13 | | 1 commentaire(s)|

Violée Alimatou est mère à 12 ans: Récit d’une vie sombre
Au moment où ses camarades de classe sautent et gambadent, à l’heure de la récréation, elle devait bien se tenir pour ne pas avoir mal au ventre qu’elle voyait s’arrondir, sans rien y comprendre. Au début, elle ne s’est pas confiée à sa mère ni à sa sœur, pensant que sa transformation physiologique était normale. Hé oui, c’était normale vue, qu’elle était enceinte. «J’avais du mal à comprendre qu’un enfant pouvait se développer dans mon ventre, vu que j’étais trop petite. Même sachant que notre voisin avait abusé de moi, je ne savais pas que je pouvais tomber enceinte», confesse-t-elle. Plusieurs fois victime de viol, du fait de son bourreau, sous la menace d’un couteau, elle sera la tâche sombre d’un voisinage entre leurs parents. Amis, avant leurs naissances, leurs parents vivaient une vraie histoire d’amitié. Aussi, à la découverte des faits, ne purent-ils pas croire aux paroles de la petite fille. «Mes parents, jusqu’à présent, pensent que je mens, qu’il n’est pas l’auteur de cet acte ignoble. Mais moi je sais qui m’a fait cela», précisa-t-elle, amère. Ses parents découvriront sa grossesse à son 6e mois et depuis, elle est presque déshéritée. Le jour de son accouchement, sa mère l’a laissée, seule, se rendre chez une dame pouvant l’aider à se délivrer. «Je ne peux oublier le jour de mon accouchement, j’avais vu ma mort devant moi. Je ne pensais pas que je pouvais survivre après, avec l’attitude de ma mère», confie-t-elle, les larmes aux yeux. Après son accouchement, Alimatou ne voulait pas toucher à sa fille, criant, dès qu’on lui remettait le bébé pour qu’elle l’allaite. L’allaiter avec quoi ? Ses seins n’étaient pas bien développés et elle n’avait pas suffisamment de lait pour nourrir son enfant d’avec qui, elle refusait tout contact. Mais, depuis beaucoup d’eau a coulé sous les ponts. L’enfant est sa source de survie. «Pour elle, j’ai arrêté mes cours car, je ne veux pas qu’elle reste seule. Je l’aime plus que tout et laisse Dieu rendre la justice», lance, philosophe, la jeune fille-mère. Une mère vivant une belle histoire d’amour avec sa petite chérie. Même si elle remue ciel et terre pour subvenir à ses besoins. En effet, elle a abandonné les classes pour se mettre au petit commerce, afin de voir son enfant plus épanoui.




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1.Posté par gorgui sankhare le 11/03/2013 10:30 | Alerter
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Cette voisin est ignoble et comment ses parents ne là croie pas par ce que ils veulent préserver leur amitié est ce qu' ils savent seulement qu'il s'agit de leur enfant .La justice diot faire son travail.

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