« C’est vrai que depuis quelques temps, il y a des difficultés qui sont liées un peu à un retard de la mobilisation de certaines ressources », a avoué M. Sarr.
Pour autant, il souligne que « des efforts ont été faits dans le cadre de la perspective de leur carrière » . « On a signé beaucoup de contrats à durée indéterminés (CDI) ; on a pris en charge toutes les indemnités qu’ils avaient réclamées. Il y a eu des versements qui ont été effectués au niveau de la Caisse de sécurité sociale (CSS) et à l’IPRES. Actuellement, on est en pourparlers avec ces institutions, notamment avec l’IPRES, pour signer un moratoire », a-t-il confié.
Par rapport au laboratoire, « nous sommes conscients de l’importance de ce service. On a fait beaucoup d’investissements à ce niveau. Récemment, on a acquis un appareil à 32 millions de francs sur fonds propres », a révélé Fadel Sarr.
Et le Directeur de l’hôpital de la Paix d’avouer que sur la question de l’environnement, « ses services ont eu quelques difficultés avec l’entreprise qui s’occupe du nettoiement ».
Mais, pour autant, la situation n’est pas pourrie. « Dans les couloirs, c’est top. C’est le désherbage qui reste dans l’enceinte de l’hôpital », a-t-il concédé.
La rédaction de Leral.net
Pour autant, il souligne que « des efforts ont été faits dans le cadre de la perspective de leur carrière » . « On a signé beaucoup de contrats à durée indéterminés (CDI) ; on a pris en charge toutes les indemnités qu’ils avaient réclamées. Il y a eu des versements qui ont été effectués au niveau de la Caisse de sécurité sociale (CSS) et à l’IPRES. Actuellement, on est en pourparlers avec ces institutions, notamment avec l’IPRES, pour signer un moratoire », a-t-il confié.
Par rapport au laboratoire, « nous sommes conscients de l’importance de ce service. On a fait beaucoup d’investissements à ce niveau. Récemment, on a acquis un appareil à 32 millions de francs sur fonds propres », a révélé Fadel Sarr.
Et le Directeur de l’hôpital de la Paix d’avouer que sur la question de l’environnement, « ses services ont eu quelques difficultés avec l’entreprise qui s’occupe du nettoiement ».
Mais, pour autant, la situation n’est pas pourrie. « Dans les couloirs, c’est top. C’est le désherbage qui reste dans l’enceinte de l’hôpital », a-t-il concédé.
La rédaction de Leral.net