L’enregistrement effectué sans problème, allait débuter la longue attente à la salle d’embarquement de l’AIBD. C’est bien au-delà de l’heure (9H50) à laquelle l’avion d’Air Sénégal devait décoller, à 11H30 que les responsables de la compagnie ont daigné s’adresser aux passagers pour la première fois, annonçant que le vol a finalement été annulé pour des raisons techniques, et que les passagers pourront partir le lendemain, ce lundi à la même heure, note le passager dans sa lettre. Il est alors demandé aux passagers de patienter à l’aéroport, avant d’être logés à l’hôtel. Un ticket pour un rafraichissement est offert à chaque passager à 14h30 pour les faire patienter.
Mais à 15h30, on leur annonce que le vol est finalement prévu à 17h30, une nouvelle collation est servie pour faire passer le temps. Que nenni ! A 17h, on annonce de nouveau le décollage à 19h30. L’explication servie, cette fois-ci, est que les membres de l’équipage ne sont pas encore sur place. Une nouvelle collation est encore servie.
Les vols de la RAM d’AIR France bloqués
Mais à 19h30, rien ne bouge, les passagers décident alors de bloquer l’embarquement d’un vol de la RAM en direction de Casablanca. Les responsables d’Air Sénégal se pointent alors et promettent un décollage 10mn plus tard.
Une longue attente s’installe de nouveau. Les passagers décident alors de bloquer l’enregistrement du vol Air France prévu à 23 heures à destination de Paris. C’est alors que les responsables d’Air Sénégal font une énième annonce, promettant un décollage à 21h30.
Au final, c’est donc un retard de 13 heures que le vol a accusé, le décollage ayant eu lieu finalement au-delà de 22 heures, raconte le passager, qui souligne qu’il devait reprendre son travail ce lundi matin, à Paris. Ce qu’il n’a pu faire, l’avion ne s’étant posé à l’aéroport Charles De Gaule de Paris qu’à 5H50.
Aussi, ce passager très remonté, a-t-il décidé de se faire rembourser son billet conformément au règlement qui stipule qu’à partir d’un retard de 3 heures, les passagers peuvent recevoir une indemnisation, en plus d’une prise en charge obligatoire (repas, boisson, hébergement), qui doit être remboursée par la compagnie si elle n’est pas fournie.
Un remboursement que se chiffre à 600 euros pour les vols 3500 km, toujours selon la réglementation en vigueur. A signaler que la distance entre Paris et Dakar fat 4028, 83 km.
Mais à 15h30, on leur annonce que le vol est finalement prévu à 17h30, une nouvelle collation est servie pour faire passer le temps. Que nenni ! A 17h, on annonce de nouveau le décollage à 19h30. L’explication servie, cette fois-ci, est que les membres de l’équipage ne sont pas encore sur place. Une nouvelle collation est encore servie.
Les vols de la RAM d’AIR France bloqués
Mais à 19h30, rien ne bouge, les passagers décident alors de bloquer l’embarquement d’un vol de la RAM en direction de Casablanca. Les responsables d’Air Sénégal se pointent alors et promettent un décollage 10mn plus tard.
Une longue attente s’installe de nouveau. Les passagers décident alors de bloquer l’enregistrement du vol Air France prévu à 23 heures à destination de Paris. C’est alors que les responsables d’Air Sénégal font une énième annonce, promettant un décollage à 21h30.
Au final, c’est donc un retard de 13 heures que le vol a accusé, le décollage ayant eu lieu finalement au-delà de 22 heures, raconte le passager, qui souligne qu’il devait reprendre son travail ce lundi matin, à Paris. Ce qu’il n’a pu faire, l’avion ne s’étant posé à l’aéroport Charles De Gaule de Paris qu’à 5H50.
Aussi, ce passager très remonté, a-t-il décidé de se faire rembourser son billet conformément au règlement qui stipule qu’à partir d’un retard de 3 heures, les passagers peuvent recevoir une indemnisation, en plus d’une prise en charge obligatoire (repas, boisson, hébergement), qui doit être remboursée par la compagnie si elle n’est pas fournie.
Un remboursement que se chiffre à 600 euros pour les vols 3500 km, toujours selon la réglementation en vigueur. A signaler que la distance entre Paris et Dakar fat 4028, 83 km.