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14 Juillet 2010 : pour mémoire

Le statut des anciens combattants enfin, verbalement, réglé. Enfin, la fin de la cristallisation sans effet rétro actif. Du moins pour seulement 10.000 survivants des diverses guerres de l’empire et 20.000 héritiers et ayant droits. On chipote sur la souffrance, l’engagement et les sacrifices des tirailleurs. 152 millions d’euros. Après les tentatives de 2002 et 2007. Une énorme injustice. 14 états qui n’avaient rien demandé et que l’on avait décolonisés. Paul BIYA « grâce au Général De Gaulle » fait dans le langue de bois diplomatique. De Gaulle, l’homme du 18 juin. Celui qui a décrété la cristallisation des pensions et des droits dus aux tirailleurs dès 1959. L’homme qui s’était débarrassé de l’empire en gardant tout le gras sous contrôle sous le vocable coopération. Pour le Sénégal, ce fut vite fait avec Senghor au cours d’un entretien de trente minutes, à Bayeux. On vint nous dire que l’on avait obtenu l’indépendance du Sénégal. On nous l’avait octroyé. Il lui fallait s’adapter aux changements de l’époque et la France donnait l’indépendance à des gens qui n’en voulaient pas.


Rédigé par leral.net le Mercredi 21 Juillet 2010 à 19:36 | | 0 commentaire(s)|

14 Juillet 2010 : pour mémoire
Les intérêts étaient devenus des convenances. Aujourd’hui le maître célèbre la libération de l’esclave.
Nous ne sortons pas de l’autoglorification et restons oublieux de tous les malheurs qui nous accablent depuis que les portugais ont commencé à aborder nos côtes. Commerce, esclavage, colonisation, néocolonialisme.
Symbolique ; il n’existe aucun cimetière en France, pour la reconnaissance de ce que des hommes venus d’ailleurs on enduré pour la liberté de s français !
Ils ont été la chair à canon pour une France riche et puissante.
A rfi, ce 14 juillet 2010 le Professeur Der qui parce qu’il est moins à l’honneur que d’autres, disjoncte.
La fin de la cristallisation des pensions des anciens combattants africains n’est pas un don de Nicolas Sarkozy. Une décision du Conseil d’état, et de la Cour constitutionnelle.
Nos républiques sont de plus devenues des de l’inquisition, des ragots, des rumeurs. Celles où règne une ère du soupçon qui finalement empoisonne.
Et l’on s’émeut que Obama ne veuille d’aucun chef d’état africain pour commémorer les 50 ans de nos états. Il veut juste des hommes d’éclairage. Une société civile qui de plus en plus se drape d’habits qui nous rappelle bien ‘du déjà vu’.
Zut ! Ils avaient été bien aux champs Elysées. Sarkozy en chute libre dans la tête de ses concitoyens ameute la garde prétorienne de la France.
Similitude avec le Général qui après avoir jeté les soldats noirs dans ce qui ne les regardait pas n’a pas hésité, avec Valéry Giscard d’Estaing, à cristalliser ce qu’il leur devait et à les décoloniser en gardant tout leur gras sous le vocable coopération.
Puisqu’on fait dans le symbolique de plus en plus insupportable, luxe dans lequel nos représentants se meuvent, bougent, se prélassent.
Quand payeront-ils pour les nombreuses victimes de leurs gouvernances. Qu’ils sont loin du principe de l’élu terriblement exemplaire pour l’aura de la république. La montée en puissance de leur tyrannie médiatique.
Tous ces gens copains coquins dans une succession de hontes qui n’arrêtent d’exaspérer et de mécontenter.
Il faut, avec la France, redéfinir totalement les rapports. Que tout se fasse selon la volonté des peuples. En toute souveraineté. Avoir des relations assainies. Institutionnellement. Monétairement. Loin des pillages organisés.


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