Après la mort de 412 pêcheurs engloutis au niveau de l’embouchure, les professionnels de la les pêche de la Petite côte ne cachent pas leur colère. En se mobilisant comme un seul homme au niveau de ces zones de pêche (Gueth Ndar, Mbour, Joal, Kayar entre autres), ils dénoncent les pertes en vie humaines.
Ils lancent un cri du cœur pour que l’embouchure soit désormais une priorité majeure de l’Etat du Sénégal. « Il s’agit d’une brèche creusée par la main humaine du fait d’un gouvernement. Que ce canal qui faisait au début juste 4 mètres, abandonné par la suite, s’est étendu aujourd’hui sur une distance de 6 km, causent d’importants dégâts ».
Les pêcheurs de la Petite côte comptent prendre des mesures idoines pour que ce problème soit réglé définitivement. «Le gouvernement n’a pas le droit d’être sourd à notre appel mais nous ne nous arrêterons que quand ce problème sera réglé », clame le porte-parole des pêcheurs.
Pour rappel, l’embouchure est le lieu où un cours d'eau se jette dans un lac, une mer ou un océan (la rencontre avec un autre cours d'eau est une « confluence ».
Ils lancent un cri du cœur pour que l’embouchure soit désormais une priorité majeure de l’Etat du Sénégal. « Il s’agit d’une brèche creusée par la main humaine du fait d’un gouvernement. Que ce canal qui faisait au début juste 4 mètres, abandonné par la suite, s’est étendu aujourd’hui sur une distance de 6 km, causent d’importants dégâts ».
Les pêcheurs de la Petite côte comptent prendre des mesures idoines pour que ce problème soit réglé définitivement. «Le gouvernement n’a pas le droit d’être sourd à notre appel mais nous ne nous arrêterons que quand ce problème sera réglé », clame le porte-parole des pêcheurs.
Pour rappel, l’embouchure est le lieu où un cours d'eau se jette dans un lac, une mer ou un océan (la rencontre avec un autre cours d'eau est une « confluence ».