"Nous appelons tous les usagers et clients de ces institutions à suspendre, pendant 48 heures, toutes les opérations auprès de toutes les institutions financières. Ces journées de grève visent l'application des mesures concernant principalement la gratuité des services bancaires qui devaient entrer en vigueur le 1er octobre dernier", a dit Famara Ibrahima Cissé lors d'une rencontre avec la presse hier. N'entendant pas reculer d'un iota dans son combat, le président de l'Accif promet même d'instaurer, s'il le faut, des semaines "banque morte" durant tout le courant de l'année pour faire plier les banques. Ce, en attendant d'éventuelles sanctions de la Banque centrale contre les banques récalcitrantes.
EnQuête révèle qu'au cours de la rencontre, Famara Ibrahima Cissé a réclamé une protection policière, car il se sent en danger. "Depuis le début de mon combat, je suis victime de menaces et d'intimidations de la part de personnes qui en veulent à mon intégrité physique. Des informations qui sont remontées jusqu'à moi indiquent que des gens sont bien décidés à me nuire pour me forcer à abandonner le combat. Sur ce, je veux alerter l'opinion sur ces actions, parce qu'on a affaire à des lobbys très puissants et transnationaux qui veulent protéger leurs intérêts, car les enjeux sont évalués à des milliards de francs", a-t-il dit.
EnQuête révèle qu'au cours de la rencontre, Famara Ibrahima Cissé a réclamé une protection policière, car il se sent en danger. "Depuis le début de mon combat, je suis victime de menaces et d'intimidations de la part de personnes qui en veulent à mon intégrité physique. Des informations qui sont remontées jusqu'à moi indiquent que des gens sont bien décidés à me nuire pour me forcer à abandonner le combat. Sur ce, je veux alerter l'opinion sur ces actions, parce qu'on a affaire à des lobbys très puissants et transnationaux qui veulent protéger leurs intérêts, car les enjeux sont évalués à des milliards de francs", a-t-il dit.