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A 45 JOURS DE L’INAUGURATION DU MONUMENT DE LA RENAISSANCE A Ouakam, certains prient pour qu’un volcan vienne brûler le Monument

À quelques semaines de son inauguration, le Monument de la renaissance africaine, véritable monument des polémiques, continue de soulever des vagues. Quand les ouvriers sont dans la dernière ligne droite des travaux qui doivent finir au mois de novembre, les populations environnantes gagnées par la crise économique, ne l’apprécient pas, mais alors pas du tout.


Rédigé par leral.net le Jeudi 29 Octobre 2009 à 12:52 | | 8 commentaire(s)|

A 45 JOURS DE L’INAUGURATION DU MONUMENT DE LA RENAISSANCE A Ouakam, certains prient pour qu’un volcan vienne brûler le Monument
Ouakam. Il est 12 h en cette journée du 27 octobre. Une chaleur d’étuve s’abat sur la capitale. Malgré les reflets d’un soleil ardent, des ouvriers s’activent. Ils ont encore de l’ouvrage à faire pour donner corps à la voirie et aux marches qui mènent à l’imposante oeuvre d’art, haute de 150 mètres, érigée sur l’une des collines des mamelles. Le Monument de la renaissance africaine commence à prendre forme. Pour autant, les alentours donnent l’image d’un vaste chantier que des ouvriers coréens et sénégalais s’attellent à finir avant le 12 décembre, date retenue pour l’inauguration de ce grand Monument qui a nécessité, dit-on, 18 milliards de F Cfa pour sortir de terre. La verdure n’a pas encore poussé, aux alentours, comme dans la maquette. À la place, du ciment mélangé à du sable rougeâtre recouvre le sol. Chez les ouvriers, aucune information ne filtre sur l’état d’avancement des travaux qui doivent finir, dans les normes, au mois de novembre prochain. Quand des Sénégalais acceptent d’indiquer des voix autorisées à se prononcer sur « l’état des lieux », leurs collègues coréens nous soupèsent du regard. Et pour cause, des visiteurs tant attendus pour l’inauguration de cette statue qui « permettrait à l’Afrique de renaître de ses cendres et de marquer une rupture avec l’ère des ténèbres pour plonger dans celle de la lumière », ne sont pas, pour le moment, les bienvenus. Un regard plein d’étincelles est dardé sur celui qui ose s’aventurer sur les lieux. Les ouvriers, tenus par les rigueurs du temps, donnent l’impression de ne pas supporter d’être dérangés à l’heure du travail. A quelques jours de l’inauguration, chaque minute semble précieuse.

Mot d’ordre : interdiction de parler à la presse

Difficile d’échanger ou de soutirer la moindre information aux ouvriers de même que des responsables du chantier. « Nous ne sommes pas habilités à nous entretenir avec la presse. Il nous a été interdit de communiquer avec vous. Il y a un responsable coréen, qui a été désigné à cet effet », lâche l’homme choisi par ses pairs comme étant le chef de chantier. C’est aussi la croix et la bannière pour accéder à son collègue coréen logé dans le camp militaire de Ouakam. Lequel représente la société nord-coréenne « Mansudae Overseas Project Group of Companies », qui conduit les travaux. Quelques informations, glanées sur le chantier, font, par ailleurs, comprendre que les travaux avancent à grands pas, que l’œuvre sera livrée à date échue. Pour les curieux, le mystère continue d’entourer ce symbole de la renaissance africaine. Point d’information pour savoir ce qui se cache derrière cette majestueuse sculpture, qui devrait « abriter des infrastructures modernes et sophistiquées ». Un centre commercial, des musées, des centres d’affaires, des salles de conférence, des restaurants devront être aménagés sur ce site, qui va donner un nouveau visage à la commune d’arrondissement de Ouakam où il est logé.

Au village de Ouakam, on prie…

Une statue qui a englouti une dizaine de milliards de F Cfa pour s’ériger sur un volcan qui dort à quelques mètres du village traditionnel de Ouakam. C’est un tissu de contradictions qui s’étire au fur et à mesure qu’on s’avance vers ce village, qui est au confluent du modernisme et de la tradition. Un calme plat régnait dans la matinée d’avant-hier, vers les coups de 12h, plus précisément dans cette localité aux allures de banlieue qui est loin de resplendir de santé financière. Les effets de la crise économique se font lourdement sentir dans ce secteur, où la plupart des jeunes n’ont pas d’activités génératrices de revenus, les chefs de famille étant, la plupart, à la retraite, des femmes ont inséré le milieu informel pour prendre en charge leurs familles. Malgré ce calme apparent, l’excitation est dans l’air chez les jeunes du village, lorsque le nom de leur « voisin » est évoqué. Chez un groupe de jeunes, assis à quelques mètres de l’Inspection départementale de l’éducation nationale (Iden), l’architecture, assise sur un volcan qui somnole, déchaîne une tempête. « Nous ne voulons pas de ce Monument », « nous souhaitons qu’il soit ravagé par une éruption volcanique », « il ne reflète pas nos valeurs ». Comme une ritournelle, ces mots teintés de hargne sortent à l’entame de la conversation avec une dizaine de jeunes dont la fourchette d’âge doit être comprise entre 25 et 35 ans. Confinés au chômage, ils sont pris d’une émotion vive, quand leurs pensées s’envolent vers « ce bijou wadien », qui a ingurgité des milliards de F Cfa. Pendant que leur quartier sombre dans la pauvreté, eux n’arrivent pas à trouver du travail, leurs parents ont du mal à joindre les deux bouts.

Des jeunes menacent de saboter l’inauguration

Quand on leur tend le micro, ils se bousculent pour faire le vide. Chacun veut s’exprimer pour crier « son indignation ». Ils estiment que des défis plus pressants interpellent les autorités. « Nous n’arrivons pas à nous insérer dans le marché du travail. Nous avons arrêté très tôt nos études, parce que nos parents n’avaient pas les moyens de nous offrir une scolarité normale. Nous sommes là, à ne rien faire, alors que nous ne souhaitons que travailler à défaut, bénéficier d’une formation professionnelle… », étouffe de rage un jeune, Pape Ndiaye. Ce dernier ne termine sa phrase, qu’un autre l’interrompt : « on est prêt à accepter le métier de balayeur, si vous voyez une offre d’emploi de ce genre, faîtes nous signe de grâce… ». Le ton de sa voix semble traduire une sincérité.

Wade wanted pour 3 milliards de F Cfa…

Pour autant, la note devient discordante, lorsque le Monument de la renaissance africaine s’invite de nouveau dans le débat. « C’est insensé. Wade devait proposer autre chose à sa jeunesse que cette statue, qui ne présente aucun enjeu pour elle, sinon aiguiser sa colère. Il aurait pu investir la somme allouée à ce Monument, à d’autres fins. Élaborer des projets de travail pour les jeunes est plus important et plus urgent que d’édifier cette structure en bronze », se rebelle Pape Fodé Ndiaye. Qui, à l’image d’autres jeunes de Ouakam, ne cache pas sa rage. Son camarade pousse lui le bouchon plus loin. « Wade a intérêt à nous rembourser nos 3 milliards de F Cfa. Nous lui avons vendu les terres pour construire son Monument à 150.000 F Cfa le mètre carré, jusque-là, il n’a rien versé.

…et menacé

S’il ne tient pas sa promesse d’ici là, il peut s’assurer qu’il n’y aura pas d’inauguration le 12 décembre prochain. Nous saurons comment nous y prendre pour saboter la cérémonie. Il nous a habitués à des promesses non tenues, mais pour cette fois, nous sommes vraiment décidés ». Des menaces en l’air d’un jeune qui ont mérité une salve d’applaudissements . Certains d’entre eux confient, par ailleurs, qu’ils ont été recrutés, il y a un an, pour travailler sur ce site. « Nous travaillions de 08h à 18h pour gagner 2000 F Cfa par jour. C’était éprouvant de déblayer toute une journée pour récolter des miettes, mais nous avions accepté cette offre juste pour nous occuper et gagner un peu d’argent, mais on nous a sommés d’arrêter les travaux par la suite. D’autres ont été cooptés. Nous espérons simplement que les jeunes de Ouakam ne seront pas en rade quand il s’agira de recruter du personnel pour cette structure en gestation qui va abriter de grandes infrastructures », confie Makhtar Fall. Par ailleurs, si ces jeunes estiment pouvoir se passer du monument, la position est divergente chez d’autres. Mafall Mbaye est membre du Collectif de Ouakam. Il est d’avis que ce Monument qui « surpasse des monuments comme la Tour Eiffel ou la statue de la liberté a le mérite de conférer à notre pays une grande dimension. » Mieux, elle est susceptible, à son avis, de générer des retombées financières qui vont donner un nouvel élan à l’économie nationale. Même son de cloche chez Pape Birame Diouf. Il nourrit la conviction que l’œuvre d’art, qui surplombe la corniche, permettra à sa localité de gagner en visibilité, vu le nombre de visiteurs attendus.

Les chefs de familles se concentrent sur la marmite à bouillir loin de cette « grosse farce »

C’est avec des sentiments frisant le mépris que des dames, habitant Ouakam Disso et qui se battent au quotidien pour faire bouillir la marmite, en parlent. L’idée du chef de l’Etat ne les emballe pas. Elle n’a jamais emporté leur adhésion surtout que, disent-elles, « les autorités ne nous avaient pas parlé de leur projet en des termes clairs. Nous nous attendions vraiment à tout, sauf à un monument si coûteux qui n’influe en rien sur notre quotidien. C’est une grosse farce ». Ces femmes, qui se sont investies dans le commerce, ont préféré s’exprimer sous le sceau de l’anonymat. Elles n’apprécient pas du tout ce joyau qui trône sur une des collines volcaniques des mamelles, mais elles se résignent. « Vous voyez, on n’a pas encore amassé jusqu’à cette heure assez d’argent pour préparer le repas, c’est dur, nos maris sont à la retraite, nos enfants ne travaillent pas. Quand le mois est creux, il nous est difficile de nourrir notre famille… ». À Ouakam, ils étaient nombreux à s’attendre à une amélioration de leurs conditions de vie. Mais, pour une dame qui doit tenir sur 70 berges, il faut positiver. Malgré le poids de son âge, elle vend des cacahuètes devant le Collège d’enseignement moyen, en vue de nourrir toute une famille, dont la majorité est sans activité rémunératrice. Diak Ndéki, c’est son nom, essaie de tempérer l’ardeur des jeunes du quartier. D’une voix caressante, elle souligne que le projet de Wade peut être porteur d’opportunités pour les générations futures, puisque, estime-t-elle, Wade n’ose pas investir à perte dans un pays frappé de plein fouet par la crise économique.

M. B

MONUMENT DE LA RENAISSANCE

Zut ! Mais où est donc passée la fille ?

Après Paris et sa Tour Eifel, New-York et sa statue de la liberté, Dakar étrenne son Monument de la renaissance. La crème fraîche de la culture se donne rendez-vous dans notre pays, le 12 décembre prochain, pour contempler l’ouvrage grandiose qui symbolise aux yeux des âmes taquines « Paa bi, Doom ji, Sokhna si ». Ou Pds si vous voulez. Le Monument de la renaissance africaine incarne, pour les novices, l’image de « Paa bi » ( expression qui désigne dans notre pays le père de famille) portant sur son bras gauche son héritier qu’il exhibe fièrement à la face du monde. Avec son bras droit, il enveloppe « Sokhna si », qui semble à la traîne, mais n’en joue pas moins un rôle indéniable pour l’ascension de leur fils vers le sommet (quel sommet ?). Pour l’inauguration de ce joyau, aux airs de famille, qui symbolise toute la destinée d’une famille conquérante, le tapage médiatique mérite bien d’être au rendez-vous, pour qu’au moins « Goorgoorlu », en déphasage de l’esprit caractéristique des dynasties, puisse réserver un accueil enthousiaste à l’érection d’une architecture qui surplombe l’Océan Atlantique et impulse l’image de la « famille africaine » au banquet des grandes nations. Au même moment, la famille sénégalaise, moulée dans d’autres réalités, endure, au quotidien, les coups de fouet portés par la crise économique. Au même moment, le Monument de la Place de l’Obélisque titube espérant bénéficier des retombées de la « nouvelle élue du cœur » pour se faire une cure de jouvence. Au même moment, la « fille », la belle et discrète princesse se fait désirer. Ni son image, ni son ombre ne figurent sur cette œuvre censée mener vers la Lumière. Elle n’oriente pas « Goorgoorlu » vers « de verts pâturages », ne tempère ni sa soif, ni sa faim, mais on ne se prive pas de se poser des questions : « une héritière n’a-t-elle pas voix au chapitre ? N’a-t-elle pas le droit de contribuer à la construction de cette « nouvelle » Afrique qui veut prendre sa revanche sur sa destinée ? Les militants des droits de la femme ne doivent pas apprécier…

DAME DE COEUR
source l'As

Pape Alé Niang


1.Posté par badag51 le 29/10/2009 14:08 | Alerter
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PAYEZ LES FACTURES DE BARA TALL
Mara avait bien signifié à Wade que tout le monde n’était pas fait pour le palais et qu’il avait en sa possession plusieurs moyens d’épauler ceux qui se sont battus à ses côtés pendant longtemps. Ce sage conseil a valu à Mara l’animosité de certains qui n’ont ménagé aucun effort pour le mettre en mal avec Wade et, comme ce dernier est impulsif et sensible aux éloges, ils ont fini, à force de chanter ses mérites et de dénigrer Mara, par le dresser contre lui.
Leur objectif atteint, pour pouvoir agir à leur guise, ils ont mis dans la tête de Wade qu’il peut se faire succéder par son fils et tout le monde connaît la suite. Ce projet absurde et insensé allait déterminer toutes les politiques initiées dans le pays et impacter négativement sur l’évolution des choses, les choix politiques, économiques, sociaux etc.
Depuis le départ de Mara des affaires, les scandales se sont tellement multipliés que les sénégalais, naguère fiers de leur président, ont aujourd’hui honte de lui. Il a perdu toute crédibilité ici et de par le monde et ce. Les arrivent qui l’entourent ont même le culot de présenter la cuisante défaite du 22 mars comme une éclatante victoire, empêchant ainsi Wade de tirer les meilleures leçons de cet avertissement populaire.
Il est grand temps que Wade fasse appel à Mara pour sauver ce qui reste des meubles s’il reste encore quelque chose car, à force de ruser, de calculer et de retarder le retour de celui qui le secondait admirablement du fait des états d’âme de ceux qui l’ont poussé dans la fange, il continue à décevoir le peuple qui lui a retiré sa confiance. Et comme ce peuple ne veut même pas voir son fils en peinture, penser à lui comme éventuel successeur ne ferait qu’approfondir le fossé qui sépare désormais Wade de son peuple.
C’est sûr que si Idy était resté à côté de Wade, on n’aurait pas eu à déplorer certains scandales, la république serait restée debout et Wade n’aurait pas manqué l’opportunité d’écrire les plus belles pages de l’histoire politique de ce pays. Hélas ! Deux saint- louisiens haineux et jaloux des exploits de Mara et de sa proximité avec Wade ont poussé à ce dernier à l’accuser de vol en promettant de lui fournir des preuves. Engagement qu’ils n’ont jamais pu respecter car, comme il n’y a pas eu de vol, il ne peut pas y avoir de preuve. Attendons l’extinction du soleil pour voir.
Mieux, ce sont ces deux mêmes phénomènes qui lui ont conseillé de penser à son fils pour sa succession pour barrer la route à Mara. Ah méchanceté quand tu nous tiens ! Pour les avoir écoutés, Wade a posé des actes malheureux, fait des choix catastrophiques et commis la grande erreur de se séparer de ses meilleurs collaborateurs pour s’entourer de minables opportunistes qui ne lui sont d’aucune utilité. Au contraire, ils sont à l’origine de ces déboires qu’il connaît présentement.
Il est communément admis que celui qui ne sait plus où il va doit retourner d’où il vient. Ceux qui entourent Wade ont brouillé toutes ses pistes. Il ne lui reste qu’à profiter de la petite marge de manœuvre qui lui reste encore pour retourner auprès de ses anciens compagnons et collaborateurs afin de connaître une fin de magistère moins sombre.
Badag51

2.Posté par Gandhi le 29/10/2009 15:45 | Alerter
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Un volcan que Dieu nous en garde. En tout cas nous ouakamois de souche nous ne prierons jamais pour cela.
.

3.Posté par Jean le 29/10/2009 15:54 | Alerter
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Ah bon

4.Posté par savant le 29/10/2009 15:58 | Alerter
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Espérons que des retombées financières irnt dans les caisses de la mairie de Ouakam qui en aurait certainement besoin.

5.Posté par coumbis le 30/10/2009 11:32 | Alerter
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yen niane lene diam.
si le volcan explose ça ne sera pas le statut ki va en souffrir mais nous habitant du village et environ. il faut réfléchir avant de parler.
niit dafay niité way

6.Posté par coumbis le 30/10/2009 11:38 | Alerter
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vous journalistes de graceeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee il faut interroger des personnes cultivées et non celles ki sont vides.

7.Posté par La conscience le 30/10/2009 21:39 | Alerter
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Je m'adresse ici à l'intervenant n°1, encore appelé badag51.
Celui que vous appelez Mara et voulez défendre contre vents et marées, n'est pas une référence, non plus. Si vous vous définissez comme le griot de ce griot, il faut vous demander souvent où sont passés les milliards que Wade aurait volés et lui aurait confiés, alors qu'il travaillait avec lui. Même si le voleur d'un voleur n'est voleur qu'à moitié, l'histoire ne retiendra pas que ton Mara aura été un exemple de vertu, à conseiller comme modèle d'honorabilité pour nos enfants. Alors, de grâce, ne nous casse plus désormais les tympans, à vouloir absolument dédouaner ton Mara, de la forfaiture généralisée du PDS et ses affidés. Mais si tu persistes à croire qu'il se pourrait que tu aies quelques raisons boiteuses à le faire, donne nous en deux ou trois au moins, de croire qu'il est l'exception qui confirme la règle, dans ce naufrage collectif qui vous attend à l'issue des élections de 2012.
Du fait de la statue de la "honte africaine", on a assez épilogué sur ce "machin" soviétique, qui n'a de sens que celui que veut coûte que coûte lui donner Wade et des personnes comme vous, qui trouvez une quelconque raison à l'existence d'une telle monstruosité. Il y a aussi et surtout, que le vieillard de son auteur ayant deux pieds dans la tombe, ne s'accommode de rien pour chercher à s'enrichir aussi démésurement que possible. Scandales sur scandales, le voilà qui veut encore devenir le premier chef d'Etat au monde, à faire du commerce sur un bien public. Cette fameuse statue, une fois sortie de sa tête (et il a été démontré qu'il a chipé l'idée) ne lui aurait plus appartenu, s'il était sain d'esprit. Mais si cet homme avait une seule fois dans sa vie eu honte, il ne devait pas dire, encore moins exiger, que chaque franc que paiera le visiteur pour voir son horreur, lui soit ristourné à concurrence de 32% des recettes générées. Alors, la prochaine fois que voudrez bien, à votre corps défendant prendre fait et cause d'un type comme votre Mara et son chef de gang, vous y réfléchirez deux fois.
A bon entendeur, Salut.

8.Posté par doff le 13/11/2009 15:16 | Alerter
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Bonjour,
moi je ne vx mm pas mangé un seul franc venant de cette statuette. Un volcan, qd mm c trop dire car je pense aux innocents qui n'ont rien à voir avec cette saleté et qui pourrait etre remporté par ces conneries. Mais si je pouvais faire de sorte que le jour de l'inauguration que ce monument retombe sur elle et emporte tt atome se trouvant à l'intérieur.
Repenser à ce qu'a dit SJD à propos de Abu Lakhab.

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