Le président Macky Sall a reçu en audience samedi le ministre marocain des Affaires étrangères et de la Coopération, Salaheddine Mezouar, dans le cadre du projet d’adhésion du Maroc à la Cedeao, a-t-on appris de la présidence sénégalaise.
M. Mezouar était "porteur d’un message écrit de Sa Majesté le Roi Mohammed VI relatif à l’intégration [du Maroc] dans la Cedeao", la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, dont le Sénégal est membre avec 14 autres pays.
La visite à Dakar du ministre marocain marque la "volonté de faire partie de la famille ouest-africaine", affirme la présidence sénégalaise dans un communiqué.
Le Maroc, situé en Afrique du Nord, a annoncé en février dernier, avoir officiellement fait part à la Cedeao de sa "volonté d’adhérer à [cette] organisation régionale en tant que membre à part entière".
Quelques semaines auparavant, Rabat avait rejoint l’Union africaine après avoir quitté pendant 32 ans les rangs de l’organisation continentale.
Le Maroc dénonçait ainsi la volonté de l’ex-OUA - devenue Union africaine au début des années 2000 - de reconnaître la souveraineté du Sahara Occidental, qu’il considère encore comme faisant partie de son territoire.
APS
M. Mezouar était "porteur d’un message écrit de Sa Majesté le Roi Mohammed VI relatif à l’intégration [du Maroc] dans la Cedeao", la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest, dont le Sénégal est membre avec 14 autres pays.
La visite à Dakar du ministre marocain marque la "volonté de faire partie de la famille ouest-africaine", affirme la présidence sénégalaise dans un communiqué.
Le Maroc, situé en Afrique du Nord, a annoncé en février dernier, avoir officiellement fait part à la Cedeao de sa "volonté d’adhérer à [cette] organisation régionale en tant que membre à part entière".
Quelques semaines auparavant, Rabat avait rejoint l’Union africaine après avoir quitté pendant 32 ans les rangs de l’organisation continentale.
Le Maroc dénonçait ainsi la volonté de l’ex-OUA - devenue Union africaine au début des années 2000 - de reconnaître la souveraineté du Sahara Occidental, qu’il considère encore comme faisant partie de son territoire.
APS