Devant la barre M. Seck a, encore une fois, assumé le contenu de lettre pour laquelle il a été poursuivi. « Avec le recul, je n’aurais même pas changé une virgule. J’accepte et assume les propos car l’initiative et la conception de la lettre viennent de moi », a-t-il soutenu. Malick a expliqué que ce sont des motivations citoyennes qui l’avaient poussé à écrire la missive, mais apparemment, il y a eu mal interprétation et incompréhension.
Ainsi, tous les 12 conseillers de M. Seck qui ont eu à passer devant la barre, ont plaidés pour une absence d’éléments intentionnels pour les délits d’outrage à magistrat et de menace de mort. Ils ont tout simplement demandé la libération de leur client.
Une libération qui risque de tarder à venir, car, l’avocat général a quant à lui confirmé les accusations qu’il a jugé d ’ « incontestablement établis » et de « faits graves ».
Pour le moment, l’affaire a été mise en délibéré pour le 02 janvier prochain et la Cour a aussi décidé de joindre la demande de liberté provisoire de l’arrêté qui sera rendu.
Ainsi, tous les 12 conseillers de M. Seck qui ont eu à passer devant la barre, ont plaidés pour une absence d’éléments intentionnels pour les délits d’outrage à magistrat et de menace de mort. Ils ont tout simplement demandé la libération de leur client.
Une libération qui risque de tarder à venir, car, l’avocat général a quant à lui confirmé les accusations qu’il a jugé d ’ « incontestablement établis » et de « faits graves ».
Pour le moment, l’affaire a été mise en délibéré pour le 02 janvier prochain et la Cour a aussi décidé de joindre la demande de liberté provisoire de l’arrêté qui sera rendu.