Après deux retours de parquet, la journaliste de Touba Tv, Oulèye Mané et ses trois acolytes C. T. Sarr, M. Diouf et F. B. Ndiaye accusés d’avoir diffusé un photomontage indécent sur le président Macky Sall ont passé ce vendredi, leur premier nuit en prison. Le quatuor a été placé sous mandat de dépôt par le Doyen des juges d’instruction pour les délits d’association de malfaiteurs et diffusion d’images contraires aux bonnes mœurs. Le juge Samba Sall a également inculpé X.
A moins qu’ils ne bénéficient d’une liberté provisoire, les inculpés vont passer de long mois en prison, le temps que l’instruction se termine. Car le juge a un délai de six mois. Si jamais les inculpés sont renvoyés en jugement et déclarés coupables, ils encourent une peine maximum de 2 ans. L’article 256 du Code pénal du Sénégal réprime la diffusion d’images par une peine d’un mois à deux ans et d’une amende de 25 000 à 300 000 francs Cfa.
Les inculpés, soupçonnés d’appartenir à un groupe WhatsApp dénommé « Xaley Beug lou bakh » ont été appréhendés par la section de recherches de la gendarmerie appuyée en cela par la Plateforme numérique contre la cybercriminalité de la gendarmerie. Ils ont partagé un photomontage obscène du chef de l’Etat. A l’annonce de leur arrestation, plusieurs internautes ont dénoncé une violation de la liberté d’expression. Mais ils se sont ravisés en voyant les images qui présentent le président de la République dans une position impudique.
A moins qu’ils ne bénéficient d’une liberté provisoire, les inculpés vont passer de long mois en prison, le temps que l’instruction se termine. Car le juge a un délai de six mois. Si jamais les inculpés sont renvoyés en jugement et déclarés coupables, ils encourent une peine maximum de 2 ans. L’article 256 du Code pénal du Sénégal réprime la diffusion d’images par une peine d’un mois à deux ans et d’une amende de 25 000 à 300 000 francs Cfa.
Les inculpés, soupçonnés d’appartenir à un groupe WhatsApp dénommé « Xaley Beug lou bakh » ont été appréhendés par la section de recherches de la gendarmerie appuyée en cela par la Plateforme numérique contre la cybercriminalité de la gendarmerie. Ils ont partagé un photomontage obscène du chef de l’Etat. A l’annonce de leur arrestation, plusieurs internautes ont dénoncé une violation de la liberté d’expression. Mais ils se sont ravisés en voyant les images qui présentent le président de la République dans une position impudique.
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