Sur le montant de 1,8 milliard réclamé à l’ancien coordonnateur de Jaxaay et actuel Conseiller du ministre Khoudia Mbaye, les 470 millions ont trait à l’achat de matériels du Brésil. De l’accusation, il ressort que cet argent a été décaissé mais le matériel n’a jamais été livré. « Ce qui est facilement vérifiable auprès de Abdoulaye Timbo, Directeur général du Fonds national de promotion de la jeunesse », renseigne le journal, tout en rappellant les péripéties ayant aboutie à l’achat de ces matériels.
Quid des tuyaux acheté à 500 millions de FCfa ? Dans un courrier en date du 21 décembre 2006, Viviane Bambassy et Ibrahima Guèye (à l’époque respectivement Préfet de Pikine et de Guédiawaye) informent le ministre de l’Urbanisme de l’époque de leur rencontre avec trois fournisseurs, à savoir Modou Diakhaté, Tidiane Diawara et Serigne Niang. Les autorités administratives devaient s’assurer de la régularité des factures. Concernant les 1,059 milliards de FCfa, curieusement, le même montant est collé aux trois anciens Coordonnateurs de Jaxaay, Serigne Ly, Ibrahima Diallo et Aziz Diop.
Même s’il est le seul visé par le parquet, Libération souligne qu’Abdoul Aziz Diop n’est pas la seule autorité de l’époque à avoir avalisé le marché octroyé à Egfd. En effet, cette société a fourni un devis estimatif pour la fourniture de produits phytosanitaires à la date du 14 octobre 2011. Le chef de Direction centrale des marchés publics a donné son aval à l’octroi du marché par lettre du 23 septembre 2011. Le marché souscrit le 27 février 2012 a été signé par Aziz Diop, Adama Mboup et Cheikh, alors directeur de cabinet du ministre du Budget et aujourd’hui celui du Premier ministre Abdoul Mbaye. Mais, il se trouve que, malgré tout ce tintamarre, ce marché de 5 milliards n’a jamais été payé.
Dans le lot des personnes visées par le Parquet, on retrouve des cas bien insolites surtout dans le dossier où des dignitaires de l’actuel régime sont allés même jusqu’à parler de détournement de 77 milliards. C’est le cas de Maguette Sèye poursuivie pour avoir perçu des indemnités de 700.000 francs et l’ancien lutteur Mohamed Ali à qui on réclame 3 millions de « trop perçu ».Il en est de même pour les secrétaires et les chauffeurs de Jaxaay. Quid de Aïda Ndiongue ? Libération, révèle que Ousmane Diagne, à l’époque procureur de la République, avait estimé qu’en ce qui concerne la responsable libérale, un contrôle judiciaire ferait mieux l’affaire surtout qu’elle n’a jamais été payé.
Quid des tuyaux acheté à 500 millions de FCfa ? Dans un courrier en date du 21 décembre 2006, Viviane Bambassy et Ibrahima Guèye (à l’époque respectivement Préfet de Pikine et de Guédiawaye) informent le ministre de l’Urbanisme de l’époque de leur rencontre avec trois fournisseurs, à savoir Modou Diakhaté, Tidiane Diawara et Serigne Niang. Les autorités administratives devaient s’assurer de la régularité des factures. Concernant les 1,059 milliards de FCfa, curieusement, le même montant est collé aux trois anciens Coordonnateurs de Jaxaay, Serigne Ly, Ibrahima Diallo et Aziz Diop.
Même s’il est le seul visé par le parquet, Libération souligne qu’Abdoul Aziz Diop n’est pas la seule autorité de l’époque à avoir avalisé le marché octroyé à Egfd. En effet, cette société a fourni un devis estimatif pour la fourniture de produits phytosanitaires à la date du 14 octobre 2011. Le chef de Direction centrale des marchés publics a donné son aval à l’octroi du marché par lettre du 23 septembre 2011. Le marché souscrit le 27 février 2012 a été signé par Aziz Diop, Adama Mboup et Cheikh, alors directeur de cabinet du ministre du Budget et aujourd’hui celui du Premier ministre Abdoul Mbaye. Mais, il se trouve que, malgré tout ce tintamarre, ce marché de 5 milliards n’a jamais été payé.
Dans le lot des personnes visées par le Parquet, on retrouve des cas bien insolites surtout dans le dossier où des dignitaires de l’actuel régime sont allés même jusqu’à parler de détournement de 77 milliards. C’est le cas de Maguette Sèye poursuivie pour avoir perçu des indemnités de 700.000 francs et l’ancien lutteur Mohamed Ali à qui on réclame 3 millions de « trop perçu ».Il en est de même pour les secrétaires et les chauffeurs de Jaxaay. Quid de Aïda Ndiongue ? Libération, révèle que Ousmane Diagne, à l’époque procureur de la République, avait estimé qu’en ce qui concerne la responsable libérale, un contrôle judiciaire ferait mieux l’affaire surtout qu’elle n’a jamais été payé.