Une fille a été violement poignardée au thorax par un maçon vicieux qui s’était invité dans sa chambre à son insu. Les faits se sont déroulés dans la nuit du 29 au 30 novembre dernier. La mineure dormait dans sa chambre fermée à double tour. Seulement, elle avait laissé entrouvert la fenêtre, pour certainement atténuer l’effet de la canicule. Mal lui en a pris. Aux environs de 2 heures du matin, un noctambule, identifié du nom de Moussa Dione, âgé à peu près de 25 ans, maçon de son état, errait dans le secteur. Il s’est introduit dans le domicile pour y commettre un larcin.
A l’intérieur, son attention a été attirée par une fenêtre entrouverte. Sans se poser de questions, il passe par là et fait irruption dans la chambre de la gamine. Là, il tombe sur une fille profondément endormie. Il sort un couteau qu’il avait dissimulé dans sa poche, ensuite ôtes ses chaussures et sa casquette. Puis, il surprend la fille dans son sommeil, la tient en respect avec son couteau et la somme d’entretenir des relations sexuelles avec lui.
Soumise à un réveil brutal, la mineure panique et use de ses cordes vocales pour ameuter les occupants de la maison. Des cris qui ont visiblement désamorcé le violeur, qui lui plante un violent coup de couteau au thorax. Le sang de la fille se met à gicler. Pris de peur, Moussa Dione vide les lieux en passant par la fenêtre. Il n’a pas fallu longtemps pour que les hommes du commissaire Bécaye Diarra mettent la main sur le violeur, qui a oublié d’emporter, dans sa fuite, ses baskets et sa caquette.
A l’intérieur, son attention a été attirée par une fenêtre entrouverte. Sans se poser de questions, il passe par là et fait irruption dans la chambre de la gamine. Là, il tombe sur une fille profondément endormie. Il sort un couteau qu’il avait dissimulé dans sa poche, ensuite ôtes ses chaussures et sa casquette. Puis, il surprend la fille dans son sommeil, la tient en respect avec son couteau et la somme d’entretenir des relations sexuelles avec lui.
Soumise à un réveil brutal, la mineure panique et use de ses cordes vocales pour ameuter les occupants de la maison. Des cris qui ont visiblement désamorcé le violeur, qui lui plante un violent coup de couteau au thorax. Le sang de la fille se met à gicler. Pris de peur, Moussa Dione vide les lieux en passant par la fenêtre. Il n’a pas fallu longtemps pour que les hommes du commissaire Bécaye Diarra mettent la main sur le violeur, qui a oublié d’emporter, dans sa fuite, ses baskets et sa caquette.
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