Les faits remontent au vendredi 3 octobre 2014, quand le petit-frère reçoit l’appel de son escroc qui lui donne rendez-vous dans un endroit proche du marché central. Pour laver l’affront, les deux tailleurs se rendent sur les lieux et tombent sur Cheikh Ndiaye, enseignant en service à Boulal, qu’ils ont roué de coups. Entendu par les pandores, Ch. Ndiaye déclare : “après avoir fait mes opérations dans une institution financière de la place, j’ai retiré une somme de 150 000 francs que mon frère qui vit au Gabon m’a envoyée. C’est à ce moment qu’ils m’ont vu communiquer au téléphone et ils m’ont battu sauvagement”. Muni d’un certificat médical, Cheikh Ndiaye a porté plainte pour coups et blessures volontaires. Après 48h de garde à vue, ses deux agresseurs ont été déférés au parquet de Louga.
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