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Aida Mbodj, (groupe parlementaire PDS) : « Je n’ai aucune information en ce qui concerne Karim Wade, ni moins de son retour »

Le groupe parlementaire du Parti démocratique Sénégalaise sera de retour sur la scène politique, a fait savoir samedi, l’honorable député Aida Mbodj lors de la cérémonie officielle du 2éme édition du salon de l’emploi de Guédiawaye qui portait sur le ‘’leadership féminin et l’entreprenariat’’ organisée par la jeunesse en action pour le développement local. Elle a pu profiter pour faire une revue sur l’actualité.


Rédigé par leral.net le Lundi 7 Novembre 2016 à 20:44 | | 0 commentaire(s)|

« Il y a beaucoup d’innovation dans notre groupe parlementaire, dit la Présidente Aïda Mbodj qui précise que le groupe intéresse ceux qui sont restés dans le groupe. « Nous avons enregistré la venue de Mamadou Lamine Keïta, qui en veut et qui nous assiste dans le travail du groupe. On est dans les commissions. Nous allons aborder avant le Magal sur la commission des finances et des plénières y seront tenues. D’ici au mois de décembre, nous ne chomerons pas », estime Madame Mbodj qui pense que le Parti Démocratique Sénégalais (PDS) fera un retour en force. L’environnement politique est morose, mais il est facile pour nous d’occuper la scène politique car nous sommes dans les cœurs.

« Je n’ai aucune information en ce qui concerne Karim Wade, ni moins de son retour » a-t-elle-dit.

Pour s’exprimer sur l’affaire de Fatou Tambédou, limogé récemment de son poste de ministre, le député montre toute sa tristesse : « J’en ai souffert moi-même parce que j’étais présente », regrette l’ancien ministre de la République Aida Mbodj qui déplore ce qui s’est passé. « L’Etat a toujours fonctionné avec des ministres titulaires et des ministres secrétaires d’Etat ou des ministres délégués. Mais cette fois ci, le président a parlé de secrétaire d’Etat pour un aspect technique. Donc les torts sont partagés de part et d’autre. Il appartenait au ministre de juger de l’opportunité ou non de la prise de parole du secrétaire d’état", démantèle la présidente.

« Je voudrais des femmes performantes qui se reconnaissent dans l’attelage gouvernementale, conscientes de leurs responsabilités mais s’exposer ainsi devant la presse, quand même c’est trop », encense l’honorable député.

Thierno Malick Ndiaye