Des exceptions (demandant au juge d’ordonner le sursis en attendant que l’enquête, commencée par la Section de recherche et concernant les biens d’Aida Ndiongue soit bouclée) avaient été soulevées par les conseils de Madiambal Diagne. Le juge, qui a suivi les avocats de la défense dans leur réquisitoire, a déclaré la citation, servie par Aida Ndiongue, nulle et de nul effet. En attendant de connaitre les motivations du juge, la cliente de Me El Hadji Diouf croit savoir qu’il y a certains articles du code de procédure pénale qui n’ont pas été mentionnés. Il s’agit des articles qui régissent la complicité. «Nous les attendons s’ils veulent reprendre la procédure. Mais ce qui est sûr, c’est que pour le moment ils ont perdu », a confié Me Mbaye Dieng, un des conseils du journaliste, Madiambal Diagne. Dans cette affaire, Aida Ndiongue avait réclamé 4 milliards de nos francs au Directeur de pub du quotidien Le Quotidien. Ce journal, le 3 décembre 2012, avait publié un article sur l’ancienne sénatrice. Il y est écrit qu’Aida Ndiongue était pistée par la Centif et la Direction générale des impôts et domaines pour des présumés transferts de fonds à l’étranger et une évasion fiscale. il n'y a pas encore prescription puisque le délai est de 6 mois. il n'a pas non plus gagné une manche, c'est juste une question de forme. cela n'a rien à voir avec les faits réels.
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