Malgré le ouf de soulagement poussé par les commerçants et usagers après l’ouverture des frontières entre la Guinée et le Sénégal, nos autorités doivent prêter une oreille attentive à cette alerte lancée lors de l’émission "Pincci" de la 2 STV.
Selon l’info parvenue à son animateur, c’est une porosité presque totale à Linkiri, une ville frontalière entre les deux pays. Des hommes ont fini d’établir un business de trafic pour les Guinéens qui veulent entrer au Sénégal. Un business à la fois honteux et à grands risques. Car les détenteurs de pièces d’identité paient 1000 francs Cfa pour entrer, tandis que ceux qui n’ont aucun document, paient le double, c'est-à-dire 2000 francs Cfa.
Même si l’animateur parle d’un risque de surpeuplement du Sénégal, l’autre grave danger est qu’en cette période d’insécurité sous régionale, le terrorisme qui frappe à nos portes, la Casamance où les mines refont surface…, le pire est à craindre !
Un Etat averti en vaut…
Selon l’info parvenue à son animateur, c’est une porosité presque totale à Linkiri, une ville frontalière entre les deux pays. Des hommes ont fini d’établir un business de trafic pour les Guinéens qui veulent entrer au Sénégal. Un business à la fois honteux et à grands risques. Car les détenteurs de pièces d’identité paient 1000 francs Cfa pour entrer, tandis que ceux qui n’ont aucun document, paient le double, c'est-à-dire 2000 francs Cfa.
Même si l’animateur parle d’un risque de surpeuplement du Sénégal, l’autre grave danger est qu’en cette période d’insécurité sous régionale, le terrorisme qui frappe à nos portes, la Casamance où les mines refont surface…, le pire est à craindre !
Un Etat averti en vaut…