Thirnon Bocoum n’a pas été tendre avec le leader de Pastef / Les Patriotes, Ousmane Sonko, et ses militants accusés, eux, d’user de leur "appareil d’intimidation", en référence aux violences qui ont éclatées suite à l’arrestation de l’opposant dans l’affaire l’opposant à la jeune masseuse, Adji Sarr.
"Mais ça ne passera pas avec moi" prévient-il, arguant qu’ils n’ont pas de leçons à lui donner.
"Nous ne menons pas de combat de personne, on a dépassé ce stade. Ce sont des combats de principe qui transcendent les personnes que nous menons.
C’est pourquoi on ne répond pas aux insultes. Rien ne peut nous ébranler. On est prêt à tout entendre et à se sacrifier pour notre pays. On m’a prévenu que je risquais d’être isolé. Mais cela ne me fait pas peur", dit-il.
"Mais ça ne passera pas avec moi" prévient-il, arguant qu’ils n’ont pas de leçons à lui donner.
"Nous ne menons pas de combat de personne, on a dépassé ce stade. Ce sont des combats de principe qui transcendent les personnes que nous menons.
C’est pourquoi on ne répond pas aux insultes. Rien ne peut nous ébranler. On est prêt à tout entendre et à se sacrifier pour notre pays. On m’a prévenu que je risquais d’être isolé. Mais cela ne me fait pas peur", dit-il.